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  • Irrégularités et gestion désastreuse : l’Opéra épinglé !

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    lmpt.JPGCommuniqué de presse de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur
    Candidat tête de liste FN à l’élection municipale de Toulon
     

    L’article de Var Matin de ce Vendredi 27, rapporte une partie des observations de la chambre régionale des comptes sur la gestion de l’Opéra, OPCC Toulon Provence Méditerranée .On y relève que la rémunération versée au Président du conseil d’administration était irrégulière , que la procédure de nomination du Directeur n’a pas été conforme aux usages pour permettre un choix éclairé, que le financement de l’Opéra repose à près de 80% sur les subventions publiques, et que les salaires versés aux plus hauts niveaux sont supérieurs de 27% à la rémunération statutaire…


    Mais l’article semble avoir « oublié » l’une des irrégularités les plus importantes relevée par la chambre: celle du cumul par deux cadres de TPM, qui seraient employés à temps partiel par l’Opéra , de rémunérations supplémentaires, contrairement au principe d’interdiction du cumul des fonctionnaires, et que de surcroit « l’établissement n’a pas été en mesure de communiquer un quelconque rapport ou dossier qui aurait été réalisé par leurs soins » ni « d’apprécier la nature exactes des travaux confiés à ces cadres de la communauté d’agglomération »… on peut donc légitimement s’interroger sur la réalité de ces emplois….

    Alors, même si le Président Robert Cavanna et le Directeur Claude-Henri Bonnet considèrent que ces critiques « sont satisfaisantes », les Toulonnais sont en droit d’exiger des explications, d’autant que le bilan de l’Opéra, également pointé par la chambre, est plus que médiocre : le nombre de spectateurs payant est en baisse, et malgré l’attribution en nombre croissant de places gratuites avec dépassements outranciers des quotas, les 1300 places disponibles ne sont jamais occupées en totalité. Les recettes stagnent en conséquence. L’ensemble des spectacles est presque toujours déficitaire. Tout ceci indique une gestion déplorable et a pour conséquence un affaiblissement du rayonnement culturel de l’Opéra.

    Il serait donc temps de mettre de l’ordre dans la politique culturelle de Toulon Provence Méditerranée et de son OPCC, et faire en sorte que l’argent des Toulonnais soit utilisé régulièrement, avec comme objectif de retrouver le rayonnement culturel que doit avoir leur Opéra. Il faut se doter d’un contrôle de gestion actuellement inexistant, mettre fin à des abus inadmissibles, et revenir à une programmation traditionnelle qui faisait le succès de Toulon, et pourquoi -pas , comme le conseille également la chambre, faire beaucoup plus appel au mécénat.

    Retrouvez notre position sur la culture (et l'Opéra!) ainsi que sur les autres thématiques dans notre premier document de campagne en cliquant ICI

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  • Harkis 2013: UNE CEREMONIE SOUS HAUTE SURVEILLANCE

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    Ce 25 septembre, journée nationale d’hommage aux harkis, une cérémonie officielle s’est déroulée dans les jardins de la «maison du combattant», porte d’Italie à Toulon. La conseillère municipale, Danielle Le Gac, y représentait le Front National.

    Les RG et une quinzaine de Policiers nationaux barricadaient les abords de la cérémonie tandis qu’un   équipage de la Brigade anti-criminalité (BAC), disséminé dans la foule, surveillait les abords de la cérémonie. Tous prêts à repousser d’éventuels perturbateurs ou assaillants.

    Mais de quels ennemis le Préfet du var redoutait-il l’attaque ? 

    Les harkis, ces troupes musulmanes et leurs familles, massacrés par milliers, torturés, emprisonnés, pour avoir été fidèles à la France durant la guerre d’Algérie, continuent aujourd’hui encore à être les bouc émissaires, traités de collaborateurs et traîtres à la nation algérienne. 

    En Algérie, un fils de harki ne peut occuper un poste important dans les institutions ni être député.

    Dans notre pays, ils sont menacés par des algériens immigrés ou naturalisés qui, à travers eux,  déversent toute leur haine envers la France.

    Et si la guerre d’Algérie n’était pas finie ?

    Hervé Toulzac
    Délégué Front National de Cantons
    Chargé du dossier « sécurité » de la liste Toulon Bleu Marine
  • Les grands voiliers à Toulon: la mer comme poumon

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    mer.JPGBillet d'humeur d'Amaury Navarranne,
    Délégué "Développement économique" de la liste Toulon Bleu Marine
     

    L'arrivée des grands voiliers cette fin de semaine à Toulon n'est hélas qu'une poudre aux yeux que lance la municipalité actuelle. Le constat de son immobilisme sur l'ouverture de notre ville vers la mer et l'absence de vrai projet de développement dans ce secteur doit être dénoncé, et sera en revanche au cœur du projet municipal de la liste du Front National.

    La notoriété que notre ville a connu ces dernières années, notamment par son équipe de rugby, mais aussi la réputation et la beauté de nos territoires, n'a pas été suivie des infrastructures et d dialogue nécessaire avec les professionnels du secteur.

    Toujours aucun accueil convenable des croisiéristes, pas de vision culturelle ou muséographique de notre avantage maritime, la ville de Toulon et la communauté d'agglomération TPM ne "surfent" que sur des acquis et sur le développement de sociétés, comme DCNS, qui ne doivent pas grand chose aux édiles locaux.

    Nous développerons dans les mois qui viennent notre programme pour cet "or bleu", axe principal de l’essor de Toulon, qui impose une vision à long terme, une ambition franche, et une envergure qui manque tant chez les "élites" qui nous dirigent aujourd'hui... L'avenir de Toulon, nous le ferons!

  • Bouger avec La Poste?!

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    TOULON BOUGE TOULON AVANCE….!

    gruarin.PNGGruarin Sport » a définitivement fermé ses portes ce 1er septembre 2013....

    Place Louis Blanc, c’est la consternation alliée à la  tristesse de voir ainsi s’éloigner son pilier Aldo GRUARIN,  fils de Besagne,  dont le souvenir reste gravé dans toutes les mémoires et qui fait que l’on est fier d’être toulonnais.

    Pourtant, ces mêmes toulonnais étaient en droit d’attendre autre chose de la rénovation de la place Louis Blanc, entreprise à coups de subventions européennes, et inaugurée  en grande pompe par le maire Hubert Falco en 2006. 

    En réalité, depuis la rénovation,  les commerces liquident, s’envolent les uns après les autres en même temps que les promesses non tenues du maire.

    Quel toulonnais ne se souvient des  nombreux commerces florissant qui animaient la place : Le  relais des « 3 suisses », «la pharmacie Vassalo », vieille famille toulonnaise, l’écailler qui lui aussi vient de baisser le rideau,  l’agence de voyage,  un  restaurant renommé de poissons….

    Aujourd’hui,  le restaurant réputé a cédé sa place au Crédit Industriel et Commercial,  Les 3 suisses  au Crédit Municipal et «Gruarin Sport» à un…… bureau de la Poste !!!

    Une banque – Le Crédit Municipal - La Poste : Triste ironie du sort pour une ville à l’agonie qui s’appauvrie de jour en jour !

    Une banque – Le Crédit Municipal - La Poste : Quels Choix stratégiques pour une ville dépourvue d’industries et de commerces! 

    A moins que la municipalité n’ait su trouver autre chose qu’une banque – Le Crédit Municipal – La Poste,  pour boucher les trous.

    « Gruarin Sport » a définitivement fermé ses portes….Ce n’est pas la premier, mais sans doute le dernier puisqu’il ne reste à présent quasiment plus de commerces sur la place Louis Blanc rénovée à Toulon.

    "TOULON BOUGE - TOULON AVANCE… ! "

    Tel était le slogan du candidat Hubert Falco pour récupérer la Mairie gérée par le Front National.

    Il avait tout simplement omis de  dire aux toulonnaises et aux toulonnais qu’il allait BOUGER AVEC LA POSTE ! Et qu’il avancerait DROIT DANS LE MUR !  

     

    Hervé TOULZAC
    Délégué de cantons de Toulon
  • INFORMATION OU PROPAGANDE ?

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    Par Marc DESGORCES,

    Chargé de Communication de la liste « Toulon Bleu Marine »


    Nos boîtes aux lettres recueillent régulièrement des dépliants SITTOMAT. Apparemment pour encourager les citoyens à continuer leurs bonnes actions en matière de tri. Et les rassurer sur les efforts d’accompagnement déployés par le SITTOMAT pour l’environnement.

    Var-Matin publie souvent des encarts publicitaires, en quadrichromie, demie ou pleine page. Apparemment pour le compte de l’annonceur SITTOMAT. Parfois en partageant l’annonce avec une municipalité, Toulon ou villes limitrophes. Souvent avec des communautés d’agglomération telles que TPM (Toulon-Provence-Méditerranée), Sud-Sainte-Baume ou Vallée du Gapeau.

    Ces publicités coûteuses laissent à l’occasion voir le logo de Pizzorno Environnement. Apparemment il s’agit d’une société privée, pas d’une collectivité publique locale.

    Apparemment donc, tout ce beau monde se ligue dans un but louable. Et ne lésine pas sur la communication. Qui peut aller contre le tri sélectif des ordures ? Qui peut ne pas être d’accord avec le respect de l’environnement ? Personne, apparemment.

    Au même moment, la plupart des maires autour de la rade bénéficient d’articles chroniques dans Var-Matin. Qui sur la rentrée scolaire (elle s’est toujours très bien passée grâce à la municipalité sortante, merci). Qui sur les projets pharaoniques à long terme qui visent à développer le bien-être dans la ville (après 2014 ce sera le paradis, gratuit). Qui sur les fantastiques travaux d’amélioration en cours dans sa ville (tiens, ils ne sont pas finis… C’étaient des promesses électorales, pourtant). Souvent pleine page, avec titraille racoleuse, chapôs favorables, photos et infographie à l’appui. Le premier servi, à tout seigneur tout honneur, c’est bien sûr l’empereur Falco, au sommet du système. Mais les petits roitelets d’alentour, suzerains locaux zélés, ne sont pas oubliés par cette manne de communication. D’ailleurs, dans les pubs SITTOMAT, ils sont souvent cités et photographiés. La notoriété, c’est comme l’argent, ça n’a pas d’odeur, même pas celle des déchets. Apparemment, il s’agit d’information. Apparemment.

    Sauf que chaque citoyen peut se demander pourquoi l’argent de ses impôts va dans des opérations de communication. Au lieu d’être mis au service du bon fonctionnement technique et administratif du service public. Si le SITTOMAT fait si bien son boulot, pourquoi a-t-il besoin de payer cher pour le faire savoir ?

    Sauf que chaque citoyen peut douter de l’identité du véritable donneur d’ordre de ces insertions publicitaires. Un encart co-signé par une entreprise privée et des collectivités publiques constitue un curieux mélange des genres.

    Sauf que chaque citoyen peut trouver amer de lire dans un prospectus ou une pub que son maire se vante en matière de ramassage des ordures ménagères. Alors que lui paye de plus en plus cher la taxe, tout en effectuant lui-même de plus en plus d’opérations de transport et de tri de ces ordures.

    Sauf que chaque citoyen lecteur de son quotidien peut légitimement se demander pourquoi son média habituel ne parle que des projets de l’équipe sortante pour l’après-mars 2014. Jamais des propositions crédibles de ceux qui vont briguer la succession. Où serait, si l’on continuait ainsi, l’égalité de traitement médiatique, base de la démocratie politique ?

    Sauf que chaque citoyen sensible à l’équité peut ne pas apprécier cette débauche de communication, juste avant et juste après le début de la période précédent les élections municipales de mars 2014. Moments où, dans l’esprit comme à la lettre, les dispositions concernant la propagande électorale et les comptes de campagne doivent être encore plus scrupuleusement respectées. Personne n’est à l’abri d’une réintégration de dépenses, laquelle viendrait sanctionner la déloyauté des moyens employés.

    Une conception de l’information qui ressemble beaucoup à de la communication. Des publicités qui pourraient s’apparenter à de la propagande. Glissements sémantiques dangereux. Apparemment, on pratique la confusion « dans l’entourage de Monsieur Falco », selon la formule que le journal affectionne. Notamment quand il faut masquer un peu qu’il s’agit d’un article de commande. On ferait mieux, dans cet « entourage », d’être plus vigilant.

    Quant à nous, liste « Toulon Bleu Marine » nous serons vigilants. Au nom et pour le compte des citoyens, électeurs toulonnais, qui ont droit à une information claire et à un débat loyal. Nous prenons l’engagement, dans ce domaine de la communication comme dans les autres, de l’honnêteté et de la transparence.

  • L’INDECENCE DE MONSIEUR FALCO

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    desgorces.PNG“Point de vue politiquement incorrect”
    par Marc Desgorces, Chargé de communication au sein de la liste Toulon Bleu Marine
     

    Hubert Falco fait partie en France des plus gros cumulards de postes politiques et administratifs. Tout en étant l’un des parlementaires les moins travailleurs. Ce n’est pas un scoop, mais c’est confirmé par le magazine L’Express, qui le place en 18èmeposition au niveau national. Triste publicité pour notre Région et notre Ville, qui s’en seraient bien passées. A quelques points d’un Christian Estrosi ou d’un Jean-François Copé, exemples de moralité publique peu recommandables. Les Toulonnais apprécieront. Notamment lors des élections municipales de mars 2014.

    Le simple constat est en lui-même éloquent : Hubert Falco est à la fois Sénateur du Var, Maire de Toulon, Président de la communauté d’agglomérations Toulon-Provence-Méditerranée, Président du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier Intercommunal de Toulon-La Seyne, Secrétaire du Sénat et Vice-président de l’UMP…

    Peut-être cet homme est-il doué de facultés intellectuelles et d’une capacité de travail extraordinaires. Voire. Mais à qui fera-t-on croire qu’il peut exercer correctement et simultanément ces hautes responsabilités ? Sans le moindre risque de conflit d’intérêts entre des fonctions qui exigent indépendance et probité ? En bonne conscience vis-à-vis de nos nombreux concitoyens qui, eux, ne cumulent pas grasses indemnités et prébendes, mais accumulent plutôt risques, chômage, boulots précaires, petites retraites et galères en tout genre ? A aucune personne de bon sens.

    L’addition des indemnités mensuelles et des avantages personnels de Monsieur Falco fait un total indécent. Surtout dans une période difficile, où beaucoup de Français et de Toulonnais travaillent dur, pour un revenu qui peine souvent à dépasser le SMIC. Pour la parfaite information de M. Falco, le SMIC c’est 9,43 € brut de l’heure, soit 1430,22 € brut par mois pour ceux qui ont la chance d’avoir un emploi à temps plein. Un peu plus de 1120 € net par mois. Environ 20 fois moins que ce que perçoit M. Falco qui, lui, profite en plus des avantages en nature liés à ses nombreuses fonctions.

    Le Front National est par principe opposé au cumul des mandats et des rémunérations afférentes. Pas plus tard, c’est-à-dire jamais, comme les Socialistes hypocrites. Pas timidement, comme les UMP honteux. Non, pour nous c’est : fin des cumuls insupportables, tout de suite.

    La meilleure manière, la plus sûre, la plus directe, d’abolir démocratiquement ces cumuls abusifs à Toulon, c’est de sortir le sortant Falco aux Municipales de 2014. De le renvoyer dans son fauteuil doré de sénateur. Où il pourra enfin se rendre utile, au lieu de briller par son absence et son silence.

  • HUBERT FALCO DOIT CHOISIR...

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    Communiqué de Presse de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional, candidat tête de liste à l’élection municipale de Toulon

    Epinglé par le magazine L’Express, qui le place dans le Top 20 au niveau national des hommes politiques les plus cumulards, Hubert Falco doit tomber le masque. En effet il ne peut pas prétendre assumer correctement et simultanément ses responsabilités de Sénateur du Var, Maire de Toulon, Président de la communauté d’agglomérations Toulon-Provence-Méditerranée, Président du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier Intercommunal de Toulon-La Seyne, Secrétaire du Sénat et Vice-président de l’UMP. En tous cas, il n’est pas un assidu du Sénat puisque sur les 12 derniers mois, il n’aurait été présent que 3 fois (contre une moyenne de 22 pour ses collègues) et qu’il n’aurait fait aucune intervention en hémicycle ou en commission selon le site "nos sénateurs.fr"

    Hubert_Falco_AFII_2008-10-15_n2.jpgEn revanche Hubert Falco cumule bien les indemnités correspondantes, même s’il existe des règles d’écrêtement. Le site du Sénat indique que les indemnités d’un sénateur, si l’on ajoute celle pour frais et une autre pour le recrutement de collaborateurs, peuvent dépasser au total 20 000 euros ! Le Front National dénonce donc l’indécence de tous les cumulards de l’UMPS, agrippés à leurs privilèges indus dans cette période difficile pour les Français qui travaillent dur pour souvent dépasser à peine le SMIC.

    Pour le Front National, il faut mettre fin à ces dérives et interdire tout cumul entre un mandat parlementaire et une fonction exécutive locale, avec application immédiate ! Hubert Falco doit choisir entre le Sénat, TPM et Toulon. Quant à moi, si je suis élu, je m’engage à ne cumuler avec aucun autre mandat et à être un maire de Toulon à plein temps dès 2014.

  • La saga du béton: de Maurice ARRECKX à Hubert FALCO

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    Billet d'humeur d'Hervé TOULZAC, responsable des cantons VII et IX de Toulon)

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    1959-1985 : LE BETON PAR NECESSITE

    Les années 60 : C’est La guerre en Algérie, les massacres et les enlèvements

    Puis  l’exode des pieds-noirs chassés du département où ils sont nés.

    En métropole,  un  programme spécial de logement pour les rapatriés  est lancé    avec la participation de la municipalité Arreckx  séduite par ce soudain dynamisme  économique.

    S’élèvent alors les nouveaux quartiers de logements collectifs : Zup La Rode, grands ensembles et cités HLM  (Pontcarral, la Carte postale, Port marchand, La beaucaire,  Les œillets,  le guynemer, le Jonquet, rodeilhac, etc…),  des centaines de logements construits en toute hâte par nécessité afin d’accueillir cet afflux de population rapatriée.  

    Ces mêmes barres de béton qui ternissent le ciel de Toulon et qui nous embarrassent  tant à présent : Zones d’immigration,  de délinquance et de  non-droit et d’où les pieds-noirs ont été progressivement chassés, en silence, pour la seconde fois.

    ECHEC !


    2) 1985-1995 : LE BETON PAR CUPIDITE

    Adjoint d’Arreckx,  le docteur François Trucy reçut Toulon en héritage.

    Le diagnostic  santé de la ville est incertain,  ses chances de survie aléatoires.

    La population toulonnaise est en chute libre, le commerce et le centre-ville vacillent.  La municipalité  s’aventure  sur de vastes chantiers qui plongent centre-ville et quartiers dans le chaos : Sans scrupules, destructions des remparts Vauban et du quartier de la visitation,  la SEMTAD et l’interminable rénovation  de « Chicago », la dalle des ferrailleurs  et le Centre commercial Mayol,   etc… 

    Certain d’administrer le bon remède en bétonnant de toute part la ville et ses quartiers, croyant sauver le centre-ville, le docteur Trucy tua à la fois le centre, la ville et le commerce. Toulon  perdit près de 12 000 habitants en l’espace de 8 ans seulement*…. Record battu !    (*Source INSEE -  1982 : 179.423  -  1990 : 167.619)

    ECHEC !

    3) 2001-2014 : LE BETON DE LA MIXITE

    En 12 ans, cette équipe municipale aura laissé aux milieux affairistes la possibilité de bétonner de façon totalement anarchique au cœur de tous les quartiers de Toulon,  et de détruire  maisons et jardins. Des constructions bas de gamme, bâties à la va-vite, inesthétiques, en ras de rue,  défigurent la ville pour les générations à venir.

    Stationnements anarchiques, trottoirs encombrés,  agressivités sonores et visuelles, énervements, irritabilité….Autant de schémas précurseurs d’une nouvelle forme de délinquance urbaine, les prétendues « incivilités »,  conséquences du mal-vivre à Toulon.

    Le logement a perdu sa fonction première de loger les habitants au profit de l’idéologie du multiculturalisme et de la mixité sociale : Cette politique qui consiste à favoriser, la coexistence forcée de personnes d’horizons et cultures différentes sur un même territoire,  un même quartier,  un même immeuble.

    Or les toulonnais rejettent en bloc cette politique d’urbanisme. L’exode vers la périphérie  se  poursuit,  comme l’attestent les encombrements aux entrées et sorties de ville. 

    Au total, c’est plus de 6000 toulonnais qui ont déserté leur commune entre 2004 et 2010*.

    (*source Insee. 2004 : 168.100 / 2010 : 164.532 = -3568 / solde naturel 2004-2010 = +2584  = -6152)

    ECHEC ET MAT !


    -Pour le respect des quartiers 

    -Pour une qualité de vie

    -Pour des relations harmonieuses au sein de la cité

    -Pour une ville agréable, attractive, où il ferait bon vivre…

     

    Falco Hubert : Sénateur-maire, Président de TPM, vice-président de l’UMP, 42 ans de carrière politique.

    Levy Geneviève : Députée UMP, 1ère adjointe mairie de Toulon, 12 ans de carrière politique

    S’IL VOUS PLAIT : PASSEZ LA MAIN !


    Hervé Toulzac
  • "Notre projet pour Toulon"

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    Cette semaine débute la distribution dans les boîtes aux lettres des toulonnais de notre esquisse de programme pour la prochaine élection municipale. Il est le résultats des premiers rapports des commissions thématiques lancées il y a maintenant un an.

    Nous vous rappelons que Jean-Yves WAQUET et son équipe restent à votre disposition pour le recueil des doléances. N'hésitez pas à nous contacter: 04.9489.25.24 et front-national.toulon@dbmail.com

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  • Après Marseille, Toulon et son système mafieux

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    Communique de presse

    de Jean-Yves Waquet,
    Conseiller régional de PACA, candidat à la Mairie de Toulon.

     



    Après Marseille, le système mafieux se met progressivement en place à Toulon..



    Un nouveau degré est dépassé dans l'insécurité que subissent les toulonnais, en particulier dans les quartiers. "On me fait payer le fait de recadrer les jeunes". Var Matin de ce jour donne le témoignage de l'habitante des Œillets qui a vu son appartement calciné. Même si la nature criminelle de cet acte n’est pas certaine à ce stade de l’enquête, cela ressemble beaucoup à la mise en place d’un système mafieux où les dealers prennent peu à peu possession d’un quartier en terrorisant ceux qui s’y opposent. Cette affaire est d’ailleurs à rapprocher de la découverte d’un stock de drogue et d’un fusil d’assaut Kalachnikov dans un appartement de la cité de Pontcarral, relatés dans le même journal.

    Certes, l'Etat porte une lourde responsabilité dans le développement rapide de ces zones de non-droit, en organisant notamment les diminutions d'effectifs et de moyens de la police et de la gendarmerie, ainsi que l'impunité des voyous comme l'illustre le catastrophique projet de réforme pénale de Madame Taubira.

    Mais le Maire a également en charge la salubrité publique et la sécurité de ses administrés. À la différence de ce qui se passe actuellement, la Police Municipale ne doit pas se cantonner à une présence dans le centre-ville et le Mourillon, mais doit être présente aussi dans les quartiers en coordination avec la police nationale, avec de nouveaux moyens adaptés et des effectifs opérationnels nettement renforcés, pour assurer la quiétude des citoyens face aux voyous.