Sécurité, Fiscalité, Identité, Intercommunalité
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La sécurité, première de nos libertés.
Mon premier engagement : rétablir la sécurité dans tous les quartiers de la ville de Toulon.
Ce 25 septembre, journée nationale d’hommage aux harkis, une cérémonie officielle s’est déroulée dans les jardins de la «maison du combattant», porte d’Italie à Toulon. La conseillère municipale, Danielle Le Gac, y représentait le Front National.
Les RG et une quinzaine de Policiers nationaux barricadaient les abords de la cérémonie tandis qu’un équipage de la Brigade anti-criminalité (BAC), disséminé dans la foule, surveillait les abords de la cérémonie. Tous prêts à repousser d’éventuels perturbateurs ou assaillants.
Mais de quels ennemis le Préfet du var redoutait-il l’attaque ?
Les harkis, ces troupes musulmanes et leurs familles, massacrés par milliers, torturés, emprisonnés, pour avoir été fidèles à la France durant la guerre d’Algérie, continuent aujourd’hui encore à être les bouc émissaires, traités de collaborateurs et traîtres à la nation algérienne.
En Algérie, un fils de harki ne peut occuper un poste important dans les institutions ni être député.
Dans notre pays, ils sont menacés par des algériens immigrés ou naturalisés qui, à travers eux, déversent toute leur haine envers la France.
Et si la guerre d’Algérie n’était pas finie ?
Hervé ToulzacDélégué Front National de CantonsChargé du dossier « sécurité » de la liste Toulon Bleu MarineFranck AIRODIONU MOMOH, clandestin Nigérian de 30 ans, comparait depuis ce week-end aux Assises du Var.
Débarqué d'un train où il resquillait, MOMOH s'est retrouvé en gare de Toulon fin 2006. En quelques minutes, il a attaqué une femme seule dans un parking souterrain proche de la gare, pour lui a soutirer...7 €. MOMOH a alors ignoblement violée la malheureuse.
Arrêté le soir même, il a été incarcéré au centre de détention de La Farlède, à l'Est de Toulon, où il écopera de 12 ans de prison. Mais dans sa prison de La Farlède, le MOMOH, véritable "chance pour la France" s'ennuie: ses voisins de cellule racontent qu'il arrachait des pages de la Bible pour les fumer...
En septembre 2008, un prévenu incarcéré en détention préventive a eu le malheur d'être placé dans la même cellule que MOMOH; MOMOH l'a bestialement violé à son tour, sous la menace d'une lame de rasoir. C'est du moins ce qui ressort de la plainte du co-détenu. La vérité est peut-être pire encore...
La justice rendra son verdict cette semaine sur MOMOH le clandestin, violeur récidiviste et brûleur de Bible.
Elle est pas belle la "France d'après", cette belle France métissée que nous a promis Sarkozy?...