Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

guerre d'algérie

  • Harkis 2013: UNE CEREMONIE SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Imprimer

     

    harkis.PNG

    Ce 25 septembre, journée nationale d’hommage aux harkis, une cérémonie officielle s’est déroulée dans les jardins de la «maison du combattant», porte d’Italie à Toulon. La conseillère municipale, Danielle Le Gac, y représentait le Front National.

    Les RG et une quinzaine de Policiers nationaux barricadaient les abords de la cérémonie tandis qu’un   équipage de la Brigade anti-criminalité (BAC), disséminé dans la foule, surveillait les abords de la cérémonie. Tous prêts à repousser d’éventuels perturbateurs ou assaillants.

    Mais de quels ennemis le Préfet du var redoutait-il l’attaque ? 

    Les harkis, ces troupes musulmanes et leurs familles, massacrés par milliers, torturés, emprisonnés, pour avoir été fidèles à la France durant la guerre d’Algérie, continuent aujourd’hui encore à être les bouc émissaires, traités de collaborateurs et traîtres à la nation algérienne. 

    En Algérie, un fils de harki ne peut occuper un poste important dans les institutions ni être député.

    Dans notre pays, ils sont menacés par des algériens immigrés ou naturalisés qui, à travers eux,  déversent toute leur haine envers la France.

    Et si la guerre d’Algérie n’était pas finie ?

    Hervé Toulzac
    Délégué Front National de Cantons
    Chargé du dossier « sécurité » de la liste Toulon Bleu Marine