Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

claude-henri bonnet

  • L'impudence sur vos ondes: l'équipe FALCO parle aux toulonnais...

    Imprimer
    an.14juil.PNGBillet d'humeur d'Amaury NAVARRANNE
    Membre du Comité central du Front National
    Responsable du Ve canton de Toulon
     

    Quelques jours à peine après la sortie du rapport de la Chambre régionale des comptes sur l'Opéra de Toulon, voilà que son directeur Claude-Henri BONNET se voit offrir 20 minutes d'antenne sur France Musique (pour réécouter, cliquez ici).

    Nous avons en fait assisté comme on pouvait s'y attendre à 20 minutes d'autosatisfaction et de sarcasme. A l'argument qu'Hubert FALCO avait favorisé un proche pour le nommer directeur de l'Opéra sans passer par la procédure habituelle d'une "mise en concurrence" (Monsieur BONNET étant par ailleurs élu dans la majorité municipale FALCO depuis 2001), Monsieur BONNET trouva cette réponse "Le patron c'est celui qui paye", et le patron a donc le droit de choisir qui il veut... Oui mais celui qui paye c'est surtout le contribuable. Et les élus se doivent de nous rendre des comptes. L'arrogance de ces gens-là est donc sans limites!

    Le comble est atteint en fin d’émission. Souffrant de ne pas parler assez de politique, le débat se porte sur les derniers résultats de Brignoles. Joignant l'émotion au grotesque, voilà que le conseiller municipal BONNET se met à expliquer qu'il est un enfant du XXe siècle (très original... un peu comme tous le monde sur cette terre lorsque l'on parle en 2013) et que son action culturel à l'Opéra vise à éduquer et à éviter que les gens se ruent à nouveau vers les extrêmes, vers la destruction et vers la mort (sic!).

    Ces gens-là ne comprennent pas qu'une lame de fond est en train de renverser les mensonges et les abstractions qui nous ont fait tant de mal depuis des décennies.

    Ces gens-là ne comprennent pas que leur diabolisation ne marche plus et que les Français n'en peuvent plus d'être sans cesse les oubliés de leurs choix égoïstes et mortifères.

    Ils sont autistes, déphasés. Leur art ne plaît pas. Leur culture n'intéresse pas. Leur clientélisme dégoute.

    Leur chute sera rude. Mais pour nos compatriotes elle sera surtout le signe le renouveau de la France. Foutons-les dehors!!!

    bonnet.francemusique.PNG

  • Irrégularités et gestion désastreuse : l’Opéra épinglé !

    Imprimer
    lmpt.JPGCommuniqué de presse de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur
    Candidat tête de liste FN à l’élection municipale de Toulon
     

    L’article de Var Matin de ce Vendredi 27, rapporte une partie des observations de la chambre régionale des comptes sur la gestion de l’Opéra, OPCC Toulon Provence Méditerranée .On y relève que la rémunération versée au Président du conseil d’administration était irrégulière , que la procédure de nomination du Directeur n’a pas été conforme aux usages pour permettre un choix éclairé, que le financement de l’Opéra repose à près de 80% sur les subventions publiques, et que les salaires versés aux plus hauts niveaux sont supérieurs de 27% à la rémunération statutaire…


    Mais l’article semble avoir « oublié » l’une des irrégularités les plus importantes relevée par la chambre: celle du cumul par deux cadres de TPM, qui seraient employés à temps partiel par l’Opéra , de rémunérations supplémentaires, contrairement au principe d’interdiction du cumul des fonctionnaires, et que de surcroit « l’établissement n’a pas été en mesure de communiquer un quelconque rapport ou dossier qui aurait été réalisé par leurs soins » ni « d’apprécier la nature exactes des travaux confiés à ces cadres de la communauté d’agglomération »… on peut donc légitimement s’interroger sur la réalité de ces emplois….

    Alors, même si le Président Robert Cavanna et le Directeur Claude-Henri Bonnet considèrent que ces critiques « sont satisfaisantes », les Toulonnais sont en droit d’exiger des explications, d’autant que le bilan de l’Opéra, également pointé par la chambre, est plus que médiocre : le nombre de spectateurs payant est en baisse, et malgré l’attribution en nombre croissant de places gratuites avec dépassements outranciers des quotas, les 1300 places disponibles ne sont jamais occupées en totalité. Les recettes stagnent en conséquence. L’ensemble des spectacles est presque toujours déficitaire. Tout ceci indique une gestion déplorable et a pour conséquence un affaiblissement du rayonnement culturel de l’Opéra.

    Il serait donc temps de mettre de l’ordre dans la politique culturelle de Toulon Provence Méditerranée et de son OPCC, et faire en sorte que l’argent des Toulonnais soit utilisé régulièrement, avec comme objectif de retrouver le rayonnement culturel que doit avoir leur Opéra. Il faut se doter d’un contrôle de gestion actuellement inexistant, mettre fin à des abus inadmissibles, et revenir à une programmation traditionnelle qui faisait le succès de Toulon, et pourquoi -pas , comme le conseille également la chambre, faire beaucoup plus appel au mécénat.

    Retrouvez notre position sur la culture (et l'Opéra!) ainsi que sur les autres thématiques dans notre premier document de campagne en cliquant ICI

    OPERA.PNG