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politique - Page 7

  • le PS Toulonnais en pétard

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    Pozzi.jpgA l'image de la coupe de cheveux du nouveau "leader" de la maigrichonne section PS toulonnaise (le ravi déboussolé à la tête de looser sur la photo à gauche), les socialistes sont en pétard à Toulon.

    En effet, c'est un "royaliste" qui vient de prendre la section des socialo-bolchos toulonnais. Non, pas un légitimiste ni un orléaniste, mais un adepte de Royal. Non, pas Marie-Christine Royal, cette charmante et courageuse jeune femme, veuve et mère de 10 (DIX!) enfants et candidate du Front National aux dernières légilsatives. Non pas elle, mais sa cousine, un brin dévoyée, Ségolène, apôtre de la bravitude et, accessoirement, de la dhimitude...

    Bref, les "royalistes" viennent de prendre la section socilaiste toulonnaise...en même temps qu'une giganteque raclée à leur propres élections internes, aussi démocratiques que sous Gaston Deferre (celui qui faisait voter les morts, corses, pas n'importe lesquels attention! de Marseille pour se faire élire dans les années 70) et où le bourrage d'urnes par les uns et les autres a rappelé à tous que la fraude électorale est un sport autant socialiste que stalinien.

    On retiendra en perle la conclusion de Karim BEN SAADA, le conseiller régional socialiste "nouvelle génération" (on ne dira pas "bien de chez nous", afin de ne pas heurter les âmes sensibles!), pour clore cette pantalonade ridicule qui a été la honte de la France durant une semaine: "J'ai toujours été de sensibilité " Hamon ". Je n'avais jamais connu un congrès avec autant d'animosité. (...) [Désormais,] on a tout à gagner puisqu'on ne peut pas aller plus bas en terme d'image".

    Tu l'as dit bouffi...

  • Salle comble pour Louis ALIOT à Toulon

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    repas_Ollioules_21.11.08_n.JPGSamedi 21 novembre, après l'inauguration d'une nouvelle permanence du FN, ouverte désormais à La Seyne sur mer à l'initiative de notre infatigable HOUVET, Louis ALIOT, secrétaire général du FN, est venu à Ollioules, près de Toulon, animer un déjeuner débat avec les militants varois.

    Entouré de Maitre Jean-Louis BOUGUEREAU, conseiller régional, conseiller municipal de Toulon, secrétaire départemental FN du Var, ainsi que des conseillers régionaux FN et responsables locaux Jackie BLANC (secrétaire départemental FN des Bouches du Rhône), Stéphane DURBEC, Michèle DUTOYA, Eliane de la BROSSE, Danièle LE GAC, Frédéric BOCCALETTI, secrétaire départemental varois du Parti Populiste, également de l'amiral WAQUET, venu du MNR désormais en ami, et de bien d'autres, Louis ALIOT a fait salle comble.

    Pas moins de 150 militants sont venus écouter la magistrale intervention du secrétaire général du FN, venu pour tous clarifier la position du Front sur nombre de sujets, à commencer par rappeler que le FN n'avait pas changé d'un iota sur les fondamentaux de son programme, comme l'indique la teneur du programme présidentiel de Jean-Marie LE PEN de 2007.repas_Ollioules_21.11.08_h.JPG

    Il a aussi rappelé que tous les candidats FN investis têtes de listes pour les européennes, Bruno GOLLNISCH, Marine LE PEN, ou encore Louis ALIOT lui-même, l'ont été le plus régulièrement du monde par le vote de la commission nationale d'investiture. Que tous ces leaders désormais investis étaient les candidats du Front National et que l'espoir d'un score canon pour eux était aujourd'hui d'actualité après la déroute de l'affairisme mondialiste dans la crise financière. Un meeting clair, juste, revigorant.

    Merci Louis ALIOT de ces moments de fraternité française, qu'on ne savoure qu'au Front. Un prélude avant nos BBR de PACA et la venue de Jean-Marie LE PEN. Et avant la grande bataille des élections européennes de l'été 2009.

  • La droite nationale, sociale et populaire avec ceux qui souffrent

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    "Vous n'avez pas le privilège du coeur "disait Giscard en 1974 face à Mitterrand, avant son élection à la présidence de la république.

    Aujourd'hui, ce n'est ainsi plus la Gauche, trop occupée à ses luttes intestines, et encore moins la Droite affairiste, uniquement capable de débloquer des milliards d'euros...pour les financiers mondialistes, qui se préoccupent du peuple qui souffre.

    Non, aujourd'hui c'est la Droite nationale, sociale et populaire qui vient au secours des pauvres. Normal, il n'y a que nous pour être solidaires des Français dans le besoin et la misère; parceque nous défendons les Français d'abord, et avant tout ceux qui souffrent.

    Dans le Var, c'est ainsi une nouvelle antenne de l'Action Sociale et Populaire, fondée par le

    ASP Var 2.JPG

    pasteur BLANCHARD et parrainnée par Jany LE PEN, qui a été ouverte à Six-Fours, à l'initiative de Frédéric BOCCALETTI, tête de file local du Parti Populiste et fidèle allié du Front National.

     

    Pas plus tard que ce week-end, Frédéric BOCCALETTI a organisé une vaste "maraude" (tournée de secours aux SDF) dans la région toulonnaise, malgré les interdictions misérables de certaines municipalités traversées. Une belle action de solidarité envers les nôtres, parmi les plus pauvres et démunis, qui mérite d'être saluée. Bravo à tous!

    Pour les soutenir: http://www.asp-grandsud.fr/

     

  • Shimone Veil, l'avorteuse couronnée

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    simoneveil1979.jpg

     

    Abject.

    La femme qui aura, au monde, été responsable du plus grand infanticide jamais commis, celui de plus de 6 millions d'enfants à naître assassinés dans le sein de leur mère, vient d'être couronnée "académicienne".

    Simone Veil veint d'obtenir ce jour le siège de Pierre Mesmer parmi les Immortels de l'Académie française. Non par ses qualités littéraires (elle n'a jamais rien écrit d'autre que 2 ou 3 récits auto-biographiques), mais par ses réalisations les plus funestes: la loi Veil de 1975 dépénalisant l'avortement et légalisant la mort de plus de 200 000 enfants français chaque année.

    Son arrivée au fauteuil de la prestigieuse académie royale salit non seulement notre pays mais aussi sa mémoire.

    Notre peuple a honte aujourd'hui du génocide commis au nom de la loi Veil.

    Abject.

     

  • TOULON envahie

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    immigration.jpg"Douze ressortissants Afghans et Irakiens ont été interpellés dans un train de nuit en provenance de Nice avant-hier. Tous fuyaient leur pays d'origine depuis plusieurs semaines. Au total, une cinquantaine de personnes ont déjà été appréhendées depuis septembre dans la région.

    Ce sont les effectifs de la Police aux frontières (PAF) de Toulon qui ont été chargés d'une enquête de grande envergure visant à rechercher d'éventuelles filières d'immigration clandestine, passant par le Sud de la France et en particulier le Var.

    Depuis le mois de septembre, une cinquantaine de ressortissants Afghans et Irakiens ont été appréhendés dans les Alpes-Maritimes et le Var. Tous avaient quitté leur pays après l'été pour trouver refuge à l'étranger, surtout en Europe où les conditions d'accueil sont meilleures. D'après les éléments récupérés et les auditions effectuées, ces immigrés clandestins transitaient par la région des Balkans puis gagnaient l'Italie afin de poursuivre leur route en train. La plupart du temps, le voyage continuait jusqu'à la Côte d'Azur et Toulon …" (extrait de Var-matin du 20 novembre 2008).

    Ah oui, on voit ça. C'est sans doute l'effet du "kärscher" promis par Sarkozy? Trois ans après ses mensonges pervers, on en a mal aux tripes pour les pauvres types qui ont stupidement apporté leur voix à ce piteux mondialiste en talonnettes...

    On a mal, mais ce sont nos enfants qui trinquent en attendant! ALORS ASSEZ DE CES GUIGNOLS UMPISTES! SORTONS-LES, ET VITE!

    RENDONS LA FRANCE AUX FRANCAIS AVEC LE FRONT NATIONAL!

  • LE PEN 2009 pour une Europe libre!

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    jmlp 2009.jpgEUROPEENNES 2009, c'est parti!
    C'est Jean-Marie LE PEN qui a été choisi par la commission nationale d'investiture du FN pour conduire la liste Front National du Grand Est aux élections européennes de 2009.
    Enfin l'occasion va être donnée aux Français de dire
    - NON à l'Euro-mondialisme de l'Union Européenne, destructeur de nos emplois et de notre économie,
    - NON au desastreux traité anti-national de Lisbonne, cher à son instigateur l'indigne Sarkozy,
    - NON à l'immigration-invasion qui détruit notre société et menace la cohésion nationale,
    - NON à l'invasion de l'islam contre nos terroirs et contre nos traditions,
    - NON à l'entrée de la Turquie en Europe, voulue par Sarkozy,
    - NON à la folie des technocrates de Bruxelles, négateurs de notre civilisation chrétienne mais apôtres de toutes les perversions morales.
    Libérons l'Europe du cancer mondialiste!
    Avec le FRONT NATIONAL, replaçons notre Patrie au coeur des Nations libres d'Europe!

  • Le Front National uni derrière son chef au combat

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    marine superbe.jpg

    La décision de Carl Lang d'opposer sa propre liste à celle choisie par la commission d'investiture du Front National, où Marine LE PEN fut désignée tête de liste et où elle offrit avec fraternité la seconde place à Carl Lang, est indigne.

    Nombre d'entre nous ont milité au sein de la fédération du Nord du FN; même si nul ne voyait plus Carl Lang depuis des années, même s'il n'a réalisé en 2007 qu'un infime 7% aux législatives de 2007, dans la meilleure circonscription du Nord (la 14ème) choisie pour lui par son pote Slabo, tandis que Marine LE PEN, dans la même région, atteignait 32 puis 42% en militant d'arrache pied, malgré tout cela, on aimait bien Carl Lang. Car il avait mené dans sa jeunesse le combat avec les nôtres. Mais Carl Lang aujourd'hui a choisi de tourner le dos à l'honneur.

    Aujourd'hui, il a choisi le portefeuille, cherchant désespérément le moyen de réaliser des listes avec ses amis mis en examens pour fraude électorale. Il offre le spectacle affligeant d'un homme qui, n'étant pas retenu par son parti pour conduire une liste, l'abandonne; il n'était donc là que pour le poste, pas pour le parti qui le fit élire autrefois.

    Quel contraste avec l'humilité, la gentillesse et le militantisme de Marine LE PEN. Bruno GOLLNISCH n'a pas cherché à excuser l'indigne comportement de Carl Lang et la commission de discipline a logiquement dit au revoir à ce monsieur indélicat.

    Le Front National toulonnais, habitué des combats les plus rudes depuis longtemps, oubliera vite le coup misérable et pitoyable de ces arrivistes de la politique, qui font s'épuiser les militants pour se ménager des postes électoraux. Le Front National toulonnais exprime son entière fidélité à notre président, Jean-Marie LE PEN, à notre mouvement, le Front National, et aux décisions prises par ses responsables légitimement désignés.

    Il souhaite bonne chance dans la région Grand Nord-Ouest à Marine LE PEN, dont le sourire et la force prévaudront toujours contre les esprits retors. Et il soutiendra de toutes ses forces la campagne de Jean-Marie LE PEN en PACA.

    Communiqué du FN VAR:

    interview BOUGUEREAU.jpgLa Fédération du F.N VAR assure de sa confiance ainsi que de son indéfectible soutien le Président Jean-Marie LE PEN, inlassable combattant depuis un demi siècle, de la cause nationale qu’il a réussi magnifiquement à mettre au coeur de la vie politique de la France.
    Le F.N Var, ses cadres, ses militants lui souhaitent “longo maï” à la tête du Front National afin qu’il se tienne prêt, à tout moment, à assumer les pouvoirs de la République.

    Jean-Louis BOUGUEREAU
    Secrétaire Départemental du Var
    Conseiller Régional
    Président du groupe Front National PACA

  • La barbarie dans Toulon envahie...

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    Immigration ouvrezlesyeux_.jpg Enlevée, séquestrée, battue, lacérée au visage et au ventre à coups de couteau ! Une lycéenne de 18 ans d'origine algérienne a été victime le 04 novembre dernier d’actes de la pire barbarie de la part de sa propre famille, à Toulon.  C’est, selon la victime, sa propre mère, de nationalité algérienne, et ses deux sœurs âgées de 14 et 16 ans qui lui ont lacéré le visage.

    En concubinage avec un Français non-musulman, elle refusait en effet de retourner en Algérie pour y être mariée de force à un homme de 30 ans… Libérée dans la nuit, la jeune fille s’est réfugiée au commissariat et a déposé plainte. Le parquet de Toulon a ouvert une information judiciaire pour "enlèvement, séquestration, violences aggravées". Les tortionnaires présumées ont…été remises en liberté, sous contrôle judiciaire.

    Ah ! Elle est belle la sécurité au pays de FALCO ! On ne peut être qu’écœuré à entendre les leaders de l’UMP et du PS vanter dans l’outrance les mérites supposés de l’immigration à la faveur de l’élection d’OBAMA aux USA. Parce que l’immigration serait une chance pour la France ? La chance de se faire larder le visage à coup de couteau pour être obligé d’aller en Algérie ? De qui se moque-t-on !

    L’immigration anarchique qui envahit chaque jour davantage notre ville, notre région, notre pays, n’est pas une chance ; c’est la porte ouverte à la pire barbarie ! Et comme l'illustre cet événement ignoble, ce sont les immigrés eux-mêmes, tels cette malheureuse, qui pâtissent de l'immigration sauvage!...

    PS ou UMP, ils nous livrent sans vergogne à l’immigration-invasion. Ils nous abandonnent à la violence, à l’agression, à la barbarie. Prêts à gaspiller des milliards d’euros pour les affairistes bancaires, les kollabos de l’UMPS ne bougent pas le petit doigt pour rétablir la sécurité des Français !

    Contre l’immigration, contre l’insécurité et la barbarie, à Toulon comme partout en France,  il n’y a que le FRONT NATIONAL !

    FRONT NATIONAL, vite, très vite !

  • Louis ALLIOT à TOULON

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    Louis Aliot.jpgLouis ALLIOT, secrétaire général du Front National, tiendra un déjeuner débat à TOULON vendredi 21 novembre 2008 à 12 heures (restaurant RN 8 à Ollioules).

    Entrée 18 euros. Cheques à l'ordre du FN VAR.

    Réservation à la fédé:  FN VAR

    BP 7-5532

    83098 TOULON Cedex

  • Ignorons les corbeaux.

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    les pieds noirs avec Le Pen.jpgA l'approche des élections européennes, où le Front National, seul parti français adversaire déclaré de l'euro-mondialisme, pourrait bien retrouver ses meilleurs scores, les corbeaux commencent à redonner de la voix...

    Ainsi, quelques ex-FN, ayant quitté depuis plusieurs années le combat au Front pour de plus confortables gamelles auprès du maire girouette d'Orange, M. Bompard, croient-ils venu le moment de lâcher du venin contre le parti qui les fit élire autrefois; histoire de complaire à la majorité sarkoziste, à laquelle leur nouveau parti, le groupusculaire Mpf du vicomte, s'est rallié dès le second tour des Présidentielles de 2007.

    Trois personnalités de petite envergure travaillant à Orange comme avocats ou conseillers, ainsi qu'une amie des Bompard, ont cru bon de porter une énième fois la faute à LE PEN, à Marine, au manque d'enracinement local, au déclin inéluctable du FN, etc., etc.

    A part que LE PEN a été le seul et l'unique leader de droite nationale et populaire à se qualifier au second tour de la Présidentielle.

    A part qu'en 2007, LE PEN a encore fait 10% des voix sur toute la France. Pas Villiers. Pas Mégret. Pas Bompard. Pas Dupont-Aignan.

    A part que Marine LE PEN a été la seule et unique candidate du FN à se qualifier pour le second tour des législatives de 2007, avec un score canon, et qu'elle a superbement récidivé aux municipales de 2008. Tandis que les corbeaux se sont tous vautrés; tel Baeckroot à Tourcoing, atteignant des scores minables dans son fief historique, fruit évident de son absence totale d'actions de terrain, de son militantisme inexistant, du désintérêt des électeurs nordistes à porter leurs espoirs sur un aigri sans convictions; ou tel de Beauregard, incapable de monter une liste aux municipales d'Hyères, sa ville historique, qu'il a abandonnée pour mendier une place sur une liste à proximité d'Orange. Le manque de charisme et les échecs de ces personnes devraient les engager à plus d'humilité....guignol de_villiers.jpg

    Bien sûr, le FN a connu une sévère décrue en 2007, aux législatives. Mais cela n'est pas le fait de LE PEN. Les Français ne se sont en effet aucunement reportés sur Mégret ou Villiers parceque LE PEN aurait été trop ceci ou trop cela. Ils se sont reportés sur un anti-national, un partisan de l'Europe fédérale de Bruxelles avec son abject "mini-traité", un cosmopolite favorable à la "discrimination positive" et au droit de vote des immigrés, Nicolas Sarkozy. Ils n'ont rien reproché à LE PEN, sinon ils auraient voté Villiers ou un autre. Ils ont eu peur. Ils ont voulu se rassurer à peu de frais, avec un chèque en blanc à Sarkozy. Ils ont été servis...

    Les corbeaux sont donc à côté de la plaque. Complètement. Le camp des aigris ne donnera l'espoir à personne. Et les has been comme de Beauregard, Baeckroot ou Perdomo peuvent pleurer ou baver, ils incarnent surtout la ringardise des ralliés à l'UMPS. Ceux qu'on a envie d'oublier définitivement.

    Ignorons les corbeaux. L'avenir de nos enfants dépend plus que jamais du combat du Front National. Aujourd'hui. Alors au Front.

  • Toulon : voyous à la mairie et dans les rues

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    racailles en action.jpgDeux employés municipaux de la mairie UMP de Toulon, affectés comme gardien et agent de sécurité à l’annexe du Pont-du-Las, ont été condamnés à neuf mois de prison ferme et à dix-huit mois de prison avec sursis le 13 octobre. Ils étaient poursuivis par 3 jeunes femmes pour harcèlement et agressions sexuelles entre début 2004 et fin 2006.

    Les victimes étaient à ce point terrorisées qu’elles n’en avaient jusqu’à ce jour parlé qu’à leur médecin, faisant silence total sur leur calvaire afin de ne pas perdre leur emploi.

    Comme quoi, entre le socialiste Strauss-Kahn, proposé par Sarkozy à la tête du FMI et qui, une fois à New-York, trompe sa femme avec sa secrétaire, et les crapules « agents de sécurité » de la mairie UMP de Toulon, on constate qu’ils sont décidément tous aussi pourris !

    On pourrait croire qu’au moins la fausse droite, réélue triomphalement à la mairie de Toulon au printemps, essaierait de donner le change dans le domaine de la sécurité… Peine perdue : rien que dans la nuit de mercredi à jeudi, ce ne sont pas moins de 15 voitures qui ont été vandalisées dans le quartier du Mourillon à Toulon. Rien à attendre décidément de ces faiseurs de vent de l’UMPS…

    Le seul espoir, c’est le FRONT NATIONAL!

  • Incidents du stade de France : le fiasco de l’intégration

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    Marine.jpgCommuniqué de presse de Marine Le Pen


    Les bordées de sifflets qui ont couvert la Marseillaise lors du match amical France-Tunisie, faisant écho à ce qui s’était déjà produit lors des rencontres France-Algérie et France-Maroc, venaient non pas de supporters tunisiens venant de Tunisie mais de dizaines de milliers de jeunes maghrébins naturalisés français et communiant dans cette même exécration d’un pays dont ils ne se sentent absolument pas citoyens.

    A l’instar des incidents de Montfermeil où le tournage d’un film de Luc Besson a été interrompu après qu’une dizaine de véhicules de la production furent incendiés, les événements du Stade de France illustrent le fiasco de la chimérique politique d’intégration

    Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, fustige l’hypocrisie d’une classe politique qui feint de découvrir cette montée persistante du sentiment anti-français dans les banlieues et réclame l’adoption de mesures fermes, telles que l’interruption immédiate des rencontres à chaque fois que les symboles de la Nation seront insultés.

  • SARKO-llabo du mondialisme

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    affiche de sarko qui pille l'Etat.jpgSARKOZY ne manque pas d'air. Il n'en manque jamais d'ailleurs. L'arriviste de l'Elysée, celui qui "ne demande pas mais prends", selon ses propres termes, vient de commettre une nouvelle infâmie dans notre bonne ville de Toulon Jeudi soir.

    SARKOZY qui s'est auto-augmenté le salaire de 200% à peine élu, SARKOZY qui frime sur les yachts de BOLLORE et autres potes mondialistes comme BOUYGUES et consors, SARKOZY qui veut taxer les classes moyennes et les petits épargnants avec son énième impôt supplémentaire (le RSA), SARKOZY a encore salit l'honneur de la France.

    SARKOZY, dans son discours de Toulon, ne se considère en effet pas le moins du monde responsable de la crise économique actuelle dans laquelle sombre notre pauvre pays. "C'est la faute à la crise financière" qu'il nous dit, glissant au passage que nous (nous, pas lui) allons devoir encore une fois nous serrer davantage la ceinture.

    Il a juste oublié de préciser que c'est lui qui a ouvert grandes les vannes du mondalisme en faisant passer en force et contre toute démocratie le funeste traité de Lisbonne: "encourager l'intégration de tous les pays dans l'économie mondiale, y compris par la suppression progressive des obstacles au commerce international" (article 10A 2 du traité de Lisbonne), voilà ce que nous a préparé et fait avalé SARKOZY. Ce type-là a livré la France pieds et poings liés au mondalisme. Et après cela, cet impudent ose nous dire que ce n'est pas lui, mais c'est la faute aux financiers...

    "Je les ai tous niqués" avait-il déclaré, selon le Nouvel Obsrevateur (édition du 13 août 1994) à l'encontre de ses propres amis de la mairie de Neuilly, qu'il était parvenu à supplanter à la faveur de l'hospitalisation de Charles PASQUA en 1983. Oui, il a bien "niqués" les naïfs qui l'ont porté au pouvoir, ça c'est sûr.

    Mais il ferait mieux aujourd'hui de s'appliquer à lui-même ses propres paroles, désormais tristement célèbres, du Salon de l'agriculture: "casse-toi, pauvre con".

     

  • 1er Mai: LE PEN, LE PEUPLE

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    742462191.jpgCe 1er mai 2008, Jean-Marie LE PEN a honnoré la sainte patronne de la France, Jeanne d'Arc. C'est devant une affluence plus importante que prévue par les media, plus de 6000 militants de la Vraie Droite Nationale, sociale et populaire, que le Chef du Front National s'est exprimé.

    Nous reproduisons ci-dessous l'intégralité de son discours, disponible sur www.frontnational.com :

    "Salut et merci encore à vous tous qui êtes venus ce matin pour honorer la Sainte de la Patrie et, à travers son image glorieuse, tous ceux qui ont combattu et souffert, tous ceux qui sont tombés au long de l’Histoire de France, pour conserver aux français une Patrie, libre : la France !
    Oui, merci à vous tous, ouvriers, salariés ou travailleurs indépendants, cadres, chefs d’entreprises, paysans, étudiants ou chômeurs, qui vous retrouvez ici, unis dans un même amour de la Patrie, soudés par l’idéal d’une France retrouvée, tendue toute entière vers un avenir meilleur.
    Vous êtes venus célébrer aussi le jour de la Fête du Travail, fête de tous ceux qui au cours des siècles ont labouré, bâti, organisé, enrichi la Nation et ses citoyens, travailleurs de la terre et de la mer, des ateliers et des usines, des bureaux et des commerces, par la main et par l’esprit, par l’exercice aussi des qualités humaines les plus remarquables : la volonté, le courage, le goût de l’effort, le sens de l’épargne transmis de générations en générations aux familles dans l’immense patrimoine qui est le bien commun des français.
    Quelle joie, chers camarades, de nous retrouver en ce 1er mai, puissant lieu de mémoire de notre histoire sociale et de notre histoire militante, qui se fondent en une subtile alchimie pour bâtir notre espérance !480378111.jpg

    I- C’est la 30ème année que le Front National consacre au culte de Jeanne d’Arc, jeune fille du peuple, héroïne, sainte et martyre.

    Jeanne est née, il y a 596 ans en 1412 en France, aux marches de Lorraine.
    D’ores et déjà, nous allons sans esprit de chapelle, préparer avec tous les patriotes la célébration en 2012 du 600ème anniversaire de Jeanne et nous défilerons le 1er mai, si Dieu le veut, entre les deux tours de l’élection présidentielle, espérant qu’enfin la terre et le ciel se rejoignent.
    Cette année, ce n’est pas dans le prestigieux décor de la place de l’Opéra que je m’adresse à vous mais dans celui plus intime, mais aussi plus symbolique de cette place des Pyramides, sous l’égide de Jeanne d’Arc, représentée en majesté dans cette sculpture de Frémiet.
    Evoquons brièvement, pour rafraîchir nos mémoires et aussi pour l’édification des jeunes qui étudient de moins en moins, hélas, l’histoire de leur pays à l’école, l’extraordinaire épopée, le trajet fulgurant de cette jeune paysanne du 15ème siècle, qui ne dura qu’un peu plus de 2 années et qui la conduisit de son village de Domrémy, au bûcher de Rouen.
    A l’appel de ses Voix, elle part de Vaucouleurs le 23 février 1429, et quitte cette terre à Rouen le 30 mai 1431. Il y a alors « grande pitié au royaume de France que ravagent la famine, la guerre et la peste, tandis qu’à Paris, Caboche et Capeluche font régner la terreur » alors que les féodaux se déchirent à belles dents. Le pays a été livré aux anglais par l’ignoble Traité de Troyes à l’instigation de la Reine Isabeau de Bavière.
    Le Dauphin Charles est banni et seul le Pape Martin V refuse d’être le complice de la trahison. Par malheur, le roi Charles VI est devenu fou et le restera 30 ans durant.
    En 1415, les anglais ont débarqué en Normandie et écrasé la chevalerie française à Azincourt. Charles d’Orléans, le plus ancien des poètes français, chef du parti des Armagnacs y est fait prisonnier. Il le restera 25 ans. Jeanne a 3 ans.
    Tout est perdu ou presque En 1422, le roi d’Angleterre Henri V meurt. Henri VI, un enfant est proclamé Roi de France. Jeanne a 10 ans.
    A 12 ans, elle établira un mystérieux contact avec ce qu’elle appelle ses Voix.
    Que disent Saint Michel, Sainte Catherine et Sainte Marguerite à cette petite paysanne lorraine ? Excusez du peu ! D’aller au secours du roi et de libérer la France. Elle croit et ce qui est miraculeux, elle va le faire croire.
    Cinq ans plus tard, Jeanne qui ne sait ni lire ni écrire, ni monter à cheval, part pour accomplir le plus prodigieux destin de l’Histoire humaine.
    Elle a 17 ans et il ne lui reste que 2 ans et 3 mois à vivre.
    Alors tout va très vite. Elle rencontre le roi à Chinon et le convainc de la mettre à la tête de l’armée. Elle libère Orléans, écrase les anglais à Jargeau et le 18 juin à Patay. Puis elle fait sacrer le roi à Reims, le tout en 5 mois.
    Deux mois plus tard, aux portes de Paris, elle est blessée pour la troisième fois. L’année suivante, le 23 mai, elle est prise à Compiègne et vendue aux anglais par les Bourguignons.
    Pendant près d’un an, emprisonnée à Rouen dans une cage de fer et ferrée aux pieds et à la taille, elle est gardée par des soudards dans un cachot sordide.
    Jugée par un tribunal ecclésiastique, présidé par l’infâme évêque Pierre Cauchon, elle est condamnée à mort, livrée au bourreau anglais et brûlée vive le 30 mai 1431 sur le bûcher de la Place du Marché à Rouen.
    Son dernier cri est un acte de foi et une prière : Jésus, Marie. Elle n’a que 19 ans.
    Dès lors, la libération va aller bon train et c’est un de ses anciens compagnons d’armes, le connétable breton Richemont qui en 1452 boutera définitivement les anglais hors de France.
    Personnage historique au parcours indiscutable, elle fut au plan spirituel Sainte et Martyre, au temporel, elle fut un grand chef de guerre et un grand chef politique. Elle parlait un français tel, qu’Alain Fournier a pu en dire que c’était du « français du Christ ».
    Amour du peuple, amour de la Patrie terrestre qu’elle ne sépare jamais de la Patrie céleste, légitimité, autorité du Roi, indépendance de la France, identité et sécurité des français, rassemblement des forces nationales, action vigoureuse contre l’ennemi, foi dans l’avenir, tels furent ses principes et ses objectifs.
    Six siècles plus tard, tels sont les nôtres !
    Rien ne lui fut épargné en échange de sa gloire immortelle, ni les abandons, ni les trahisons, ni les lâchetés, ni les plus basses insultes, ni les plus ignobles calomnies. Elle n’échappera pas même à des techniques que l’on pourrait croire de notre temps, la désinformation et la diabolisation. Elle subit enfin la plus cruelle des injustices, celle des juges. Mais comme nous le démontrons ici à Paris, 577 ans plus tard, son souvenir est impérissable.
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    II- En effet, notre 1er mai, en ce printemps 2008, c’est le symbole de la résistance à la classe politique qui nous berce d’illusions et de mensonge depuis 35 ans, présentant sans vergogne aux travailleurs et aux contribuables les différentes ardoises de ses échecs successifs.

    En quelques décennies, rien ou presque n’a été épargné à nos compatriotes, à commencer par l’impensable, pour toutes les générations qui nous ont précédés, pour ces millions de Français qui ont bâti ce pays au prix de leur sang et de leur sueur : c’est-à-dire la disparition de nos frontières et l’abandon progressif de notre souveraineté – dont le privilège de battre monnaie et la liberté d’édicter nos lois.
    D’ailleurs, en mai 2005, à l’occasion du referendum sur la Constitution européenne, les électeurs se sont mobilisés pour défendre cette indépendance chèrement acquise, en rejetant massivement le funeste projet d’Europe fédérale qui apparaissait en filigrane, derrière le texte présenté aux Français.
    Mais en février dernier, la trahison des élites françaises en place a éclaté au grand jour.
    Alors même que l’eurofédéralisme semblait définitivement terrassé par le vote hostile des français et des néerlandais, Nicolas Sarkozy a relancé le processus de construction d’un Etat supranational.
    Balayant cyniquement le choix du peuple souverain, tel qu’exprimé en 2005, le Chef de l’Etat a en effet demandé aux laquais de l’Assemblée Nationale et du Sénat d’approuver une nouvelle mouture de ladite Constitution.
    Intervenant après le choix direct et clairement exprimé par nos compatriotes, ce texte est illégitime, toutes ses conséquences sont illégitimes et nul ne saurait être tenu d'en respecter les termes.
    Le Président de la République a menti aussi sur la Turquie, lorsqu’il disait qu’il était – et dit encore aujourd’hui qu’il est contre l’adhésion de ce pays à l’Union européenne, alors que les négociations devant y conduire sont menées ouvertement.
    En effet, la réforme des institutions qu’il vient de mettre en œuvre comporte la suppression de l’obligation d’un referendum pour ratifier l’adhésion d’un nouveau membre.
    Qu’est-ce que cela veut dire ?
    Que les Français ne seront pas consultés directement sur l’entrée de la Turquie, il suffira là encore de passer par les laquais…
    Ceux-là accepteront tout ce que Sarkozy leur demandera…
    C’était donc bien ce que nous disions qui était vrai : Sarkozy est secrètement favorable à l’entrée de la Turquie, comme d’ailleurs madame Rehn, Commissaire européen à l’élargissement !
    Pourtant, il est évident qu’il n’y a rien de bon à attendre d’une Union Européenne boulimique qui va intégrer de gré ou de force la Turquie et ses 100 millions d’habitants, et d’autres, sans doute, puisque les critères d’admission sont uniquement idéologiques et ne veulent tenir compte d’aucune des données objectives de la Géopolitique : la géographie, l’histoire, les mœurs, la culture.
    Alors, disons-le clairement, mesdames et messieurs, face à un pouvoir tricheur, il faut riposter !
    La résistance nationale devient, en effet, un devoir, une nécessité absolue, d’autant plus nécessaire qu’elle rencontre l’assentiment populaire.
    En effet, mes chers camarades, lorsque l'on prive les peuples du droit légitime de choisir leur avenir, ils se vengent.
    Ils prendront leur revanche, et quelle revanche, aux élections européennes de l'année prochaine.
    Ils diront, soyez en sûrs, que l'avenir de l'Europe ne passe pas par ce Moloch supranational aux visées totalitaires, mais par une coopération librement consentie des Nations et des peuples européens, d'ailleurs étendue aux Nations Slaves.
    Ils diront leur refus de liquider leurs nations millénaires et illustres au bénéfice d'une utopie constructiviste qui les livre pieds et poings liés aux conséquences désastreuses du Mondialisme et du libéralisme sauvage : l'immigration massive, l'insécurité, la ruine économique, le désastre social, la décadence morale et culturelle.
    Oui, mesdames et messieurs,
    «L’Europe » est l’unique grand dessein de la classe politique, l’alibi de son impuissance, le masque de sa lâcheté.
    Elle y a sacrifié notre pays, ainsi que l’Union Française bradée entre 1958 et 1962, mais aussi notre souveraineté politique et notre indépendance économique, alors qu’elle nous promettait plus de prospérité.
    On a fait l’Europe du charbon : il n’y a plus de charbon, plus de houillères, et plus de mineurs.
    On a fait l’Europe de l’acier : il n’y a quasiment plus d’acier, plus de sidérurgie, et plus de métallurgistes. Nous avons perdu 2 millions d’emplois industriels entre 1975 et 2002, puis encore 500.000 entre 2002 et 2007, et cela continue, au rythme de 80.000 par an !
    On a fait l’Europe de la pêche : depuis 20 ans, la France a perdu plus de la moitié de ses bateaux, et plus de la moitié de ses marins. Tandis que les études sur la raréfaction des poissons sont contestées par les professionnels, l’Europe a imposé en 2008 des quotas très limités de prises, d’ailleurs atteints en mars dans le nord de la France, et qui mettent les pêcheurs dans une situation de chômage technique et de précarité financière jusqu’à la fin de l’année.
    On a fait l’Europe de l’agriculture : de 2,7 millions d’agriculteurs en 1972, la France n’en compte plus que 600 000.
    Et selon les projections officielles, ils ne seront plus que 300 000 en 2010, alors même que le monde tout entier est menacé d’une crise de sous-production qui risque de dresser les hommes et les peuples les uns contre les autres, dans des guerres de la faim peut-être titanesques !
    En avril 2008, les dirigeants européens découvrent stupéfaits les révoltes de la faim à Haïti, au Caire, à Dakar ou à Douala. L’Afrique a faim, la Thaïlande, le Vietnam, le Mexique et le Kazakhstan n’exportent plus le riz, le maïs ou le blé. Le Japon n’a pas de beurre dans les supermarchés et Wall Mart, le grand distributeur, limite, aux USA, les ventes de riz aux restaurants et grossistes.
    Comment en est-on arrivé là en douze mois, où le prix du maïs a augmenté de 58 %, le prix du soja de 90 %, le prix du blé de 71 % et le prix du riz qui dépasse les 1 000 dollars la tonne ? Surtout cette situation était-elle prévisible ?
    Or, la plupart des facteurs qui font les tensions alimentaires actuelles étaient connus. La crise était plus que prévisible. C’est tellement vrai qu’au Parlement Européen, de discours en critiques de la réforme de la PAC, dans la Lettre européenne aux paysans et dans le Paysan national, avec notre député Jean-Claude Martinez, nous n’avions cessé d’alerter. Encore en octobre 2007, la Lettre aux paysans concluait, à propos de l’avenir de la PAC : « Il est alors évident que le monde court vers un problème alimentaire majeur ».
    Aujourd’hui, c’est vérifié. Le drame est là. Et la vérité aussi. On savait et on a laissé faire.
    Jamais les plus modestes de nos compatriotes n’ont pu jouir des bénéfices du progrès technique, économique et social que 30 ans de forte croissance pouvaient légitimement laisser espérer à chaque français, et il y a 7 millions de Français qui vivent au dessous du seuil de pauvreté.

    II- Dans le même temps que la classe politique laissait démanteler notre appareil de production, notre prospérité économique et nos grands équilibres sociaux, elle acceptait et même facilitait l’installation sur notre sol de populations immigrées si nombreuses que toute politique d’assimilation est quasi impossible, et que la substance même de notre civilisation risque de s’en trouver altérée à jamais et que chacun d’entre nous risque d’être privé un jour de sa Patrie et des libertés qu’elle garantit.

    Face à cette situation dramatique, les gouvernements successifs, les dirigeants des organisations patronales et les dirigeants des organisations syndicales ont fait la preuve de leur inconséquence, et continuent de faire la preuve de leur complicité secrète contre les intérêts des citoyens français.
    Prenez l’exemple de la grève des « sans-papiers », c’est-à-dire des immigrés en situation illégale.
    Puisque Sarkozy et Hortefeux ont commis la folie d’appeler à une immigration économique légale, tous les illégaux qui travaillent clandestinement en France demandent leur régularisation, au nom de leur travail !
    Ainsi, alors même que l’immigration familiale, économique et étudiante explose littéralement depuis 2006, deux nouvelles pompes à immigration se sont mises en marche : la machine à régulariser et la machine à attirer de nouveaux clandestins, qui remplaceront les régularisés.
    La France vit donc au rythme d’une grève de sans-papiers soutenue officiellement par la CGT, qui parle de multiplier, partout, ces opérations, mais aussi par le patronat, qui par la voix d’André Daguin, Président de l’union des Métiers et Industries de l’Hôtellerie, a réclamé 50.000 à 100.000 régularisations !
    TF1 n’est pas en reste, qui a présenté cette affaire comme la lutte à mort entre le camp des humanistes partisans de la régularisation et celui de la froide administration française, impersonnelle et même déshumanisée.
    Quant au Ministre Hortefeux, dépassé par la situation, il s’est contenté d’évoquer une fois de plus le sophisme des régularisations « au cas par cas », dont un responsable CGT a fait litière dans les termes suivants :
    « Le cas par cas, c’est toujours comme cela que cela se passe. Mais en fait, ce sont des régularisations massives. A chacun sa langue de bois.
    Lors de la rencontre avec le cabinet d’Hortefeux, nous avons évoqué la grève qui avait eu lieu au restaurant « La Grande Armée ». Nous avions obtenu la régularisation, au cas par cas, de 8 salariés sur 9. Nous nous attendons à cette proportion-là. Vous le voyez, les régularisations au cas par cas, ce sont des régularisations de masse ».
    Quel aveu !
    Il faut dire que les précédents confortent cette opinion : c’est ainsi, par exemple, que 95% des squatters de Cachan – 231 sur 238 – furent régularisés au « cas par cas ».
    Dans un pays qui a accueilli plus de 10 millions de personnes en 30 ans, qui est dans une situation d’appauvrissement économique et social inquiétant, la classe dirigeante, qu’elle soit politique, patronale, syndicale ou médiatique, communie dans l’appel à l’immigration de masse !
    On croit rêver…
    Oh, bien sûr, les hommes politiques n’ont pour seul plan à long terme que celui de leur propre carrière, et pour seule volonté que celle de perpétuer un système dont ils sont les principaux bénéficiaires.
    Les dirigeants du Medef, quant à eux, ont la prétention de se poser en défenseurs des chefs d’entreprise. Que ceux-ci ne s’y trompent pas : le patronat défend l’entrepreneur comme la corde soutient le pendu.
    Ce patronat-là n’est pas celui de l’esprit d’entreprise, c’est celui de l’esprit de lucre et de la spéculation.
    Le patronat de madame Parisot n’est pas celui qui contribue à la richesse du pays, c’est celui qui l’assèche.
    C’est le cartel des financiers pour qui une entreprise ne vaut ni par les hommes qui lui consacrent leur force de travail, ni par la qualité de sa production, mais par le taux de profit qu’elle est susceptible de dégager pour ses actionnaires.
    La course à la plus-value, tel est le seul objectif du capitalisme moderne qui a relégué au musée des utopies l’objectif premier et moral qui devrait être celui du travail national: assurer le bonheur individuel et la prospérité collective.
    Quant aux dirigeants des principales centrales syndicales, qui ne regroupent à elles toutes que moins de 10 % des salariés mais continuent à s’arroger le monopole de la négociation, ils restent prisonniers d’une conception archaïque, celle d’un syndicalisme du XIXème siècle, crispé sur les « acquis sociaux », mais plus encore d’une vision internationaliste des rapports sociaux, qui en fait le meilleur allié du capitalisme sans frontière et de l’ultra-libéralisme mondialisé.
    Le summum de la connivence entre gouvernement, patronat et syndicat est atteint lorsqu’on découvre, par exemple, que les caisses noires de l’UIMM ont permis le retrait de 22 millions d’euros en liquide en 5 ans, au bénéfice des patrons des organisations patronales et syndicales, mais aussi, peut-être des hommes politique de l’Etablissement.
    Le summum de la connivence oligarchique, c’est aussi, par exemple, le chauffeur de l’ancien secrétaire général de Force ouvrière, payé des années durant par la Mairie de Paris, et ceux de trois secrétaires généraux successifs de la CFDT, appointés durant quinze ans par le Crédit Lyonnais !
    Des emplois fictifs dans les deux cas, mais de petits arrangements bien commodes pour mettre de l’huile dans les rouages sociaux et inciter les dirigeants syndicaux à faire preuve de compréhension sur les dossiers les plus sensibles, et notamment pour calmer les travailleurs français qui cherchent désespérément un emploi.
    Tenu dans l’ignorance de ces petites combines, le peuple français n’en a pas moins pris conscience des politiques funestes menées par ceux-là mêmes qui se posaient comme les défenseurs des petits et des sans grade.
    Il est à cet égard remarquable qu’après avoir soutenu durant des décennies la politique d’immigration de masse exigée par le patronat et acceptée par le pouvoir politique, le Parti communiste ait été abandonné par les masses ouvrières.
    Il est aisément compréhensible que ce soit le Front national qui l’ait vidé de sa substance, puisque le seul parti qui dénonce ces magouilles et ces combines, c’est le Front National.
    Alors, mesdames et messieurs, dans un contexte pareil, les choses sont claires.

    III- Face à cette collusion d’intérêts oligarchiques, les Français ne peuvent compter que sur leurs propres forces.

    Il est désormais clair, en effet, que nos compatriotes ne peuvent rien attendre de la présidence de Nicolas Sarkozy, ni rien espérer du gouvernement de François Fillon.
    Aucune des promesses du candidat Sarkozy n’a été tenue : ni la réhabilitation de l’identité nationale, ni le maîtrise de l’immigration, ni la baisse des impôts, ni la réforme scolaire et universitaire, ni la réforme des retraites, en dehors d’un faux-semblant sur les régimes spéciaux. L’échec de la réforme de la carte judiciaire et de la carte hospitalière est patent. Le nombre de fonctionnaires ne sera pas réduit l’année prochaine, mais augmenté. Le service minimum n’en est pas un.
    La croissance française est toujours aussi faiblarde, comme c’est le cas, chaque année, depuis 25 ans. Comme d’habitude, les prévisions gouvernementales se sont avérées fausses, tant pour 2007 que pour 2008.
    La croissance n’est d’ailleurs pas la panacée et ne saurait que masquer les carences structurelles de nos budgets et de notre organisation sociale.
    Les déficits des collectivités publiques se suivent et se ressemblent, domaine après domaine, année après année, et ce ne sont pas les ridicules mesurettes baptisées « Réforme de l’Etat » par Sarkozy qui y changeront quelque chose.
    - le déficit public a atteint en 2007, 2,7 % du PIB français soit 50 milliards d'euros. Il sera au moins équivalent en 2008. Le Gouvernement, qui, depuis des mois, annonçait 2,4% pour 2007 et 2008, a, une fois de plus, trompé les Français.
    - Le déficit du régime général de la sécurité Sociale a dépassé 9,5 milliards d’euros en 2007, après 8,7 milliards en 2006, malgré les réductions constantes des prestations des assurés sociaux :
    • je pense aux médicaments dé-remboursés, comme l’ultra-levure, pourtant indispensable aux bébés, comme l’Ercefuryl ou le Daflon, médicaments d’un usage extrêmement courant.
    • je pense aux retraites amputées, depuis plus de 15 ans, puisqu’elles s’élevaient en moyenne à 86% du dernier salaire en 1990, contre 76% aujourd’hui et n’atteindront que 66% après 2020.
    • et le Gouvernement met en place désormais les franchises médicales, qui consistent à commencer à laisser à la charge du patient une partie du prix des soins.
    Pourtant, Sarkozy avait promis durant la campagne présidentielle d’arriver à l’équilibrer les comptes publics en 2010.
    Il souhaite aujourd’hui y parvenir d’ici 2012, objectif que tous les économistes, je dis bien tous les économistes, jugent totalement irréaliste…
    Là encore, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent….
    - D’ailleurs, à rebours des vertueuses déclarations gouvernementales, la dette publique officielle a augmenté de 5,2% en 2007, pour atteindre le chiffre faramineux de 1210 milliards d’euros, soit 8000 milliards de Francs.
    - chaque français, du nourrisson au vieillard est endetté à hauteur de 17000 euros soit plus de 110 000 FF.
    Une bagatelle pour les Ministres, mais plus d'un an de salaire pour un smicard !
    - Enfin, le déficit du commerce extérieur approche les 40 milliards d'euros en 2007, affichant pour la cinquième année consécutive un résultat catastrophique.
    Le niveau de vie de nos compatriotes s’en ressent, de plus en plus cruellement.
    Oui, notre peuple souffre, du chômage, de l’emploi précaire, de la baisse du pouvoir d’achat, de la chute du niveau de vie, de l’insécurité publique, de la précarité de la vie, de l’angoisse de la fin de vie et de l’avenir de nos enfants.
    Comment ne pas voir que la précarité professionnelle, sociale et financière continue de ravager la société française :
    • notre pays compte plus de 4,5 millions de chômeurs réels,
    • 1,1 millions de Rmistes,
    • 7 millions de pauvres,
    • 4,8 millions de titulaires de la CMU,
    • sans oublier les 600.000 titulaires du minimum vieillesse, soit 5% des plus de 65 ans, qui vivent avec 628 euros par mois !
    L’endettement des ménages a atteint des niveaux inégalés depuis 1989, date de la mise en place du suivi de cet indicateur, tout simplement parce que de plus en plus de gens empruntent pour pouvoir manger, se déplacer, se vêtir, bref, tout simplement, pour vivre !
    Oui, mesdames et messieurs, voilà où nous en sommes !
    Au bout d’un an de sarkozisme, la France est au bord de la faillite économique, sociale, politique et morale.
    Elle a même fait un grand pas en avant !
    Notre pays est 23ème sur les 27 pays européens en terme de taux de croissance, 19ème en terme de dette publique, 18ème en terme de taux d’emploi global et de taux d’emploi des travailleurs âgés, 24ème en terme d’âge moyen de sortie du travail et de taux de chômage des jeunes.
    Ces mauvais résultats ne sont guère surprenants.
    En effet, Sarkozy ne s’est pas attaqué aux causes profondes des difficultés françaises que nous sommes seuls à dénoncer inlassablement mais en vain, tant il est vrai que les démagogues, surtout quand ils ont le monopole des moyens médiatiques, sont plus agréables à écouter dans leurs messages que les opposants qui disent au peuple la réalité cruelle.
    Elles sont pourtant aussi évidentes qu’un éléphant dans un corridor !
    Au plan économique, nous souffrons de trois maux particulièrement rédhibitoires:
    - premier mal, l’ouverture généralisé de nos marchés et de nos emplois à une concurrence mondiale chaotique, débridée et inéquitable, par le biais de l’Europe de Bruxelles et de la politique du « zéro droits de douane » qu’impose l’idéologie libre-échangiste en vogue au sein de la classe dirigeante mondiale.
    - Ensuite, la surrévaluation démentielle de l’euro par rapport aux autres grandes monnaies du commerce mondial asphyxie littéralement nos exportations, pousse aux délocalisations et encourage l’importation de la plupart des biens et des services.
    - enfin, la France pâtit d’un assistanat généralisé dont les coûts, financés par le contribuable, assèchent les ressources disponibles et les énergies de notre pays.
    Aussi longtemps que les pouvoirs publics ne sortiront pas des dogmes de la Pensée Unique, qu’elle soit européiste, socialisante ou antiraciste, la France ne pourra pas se relever.
    Oui, depuis 35 ans, nous vivons sous une insupportable chape de plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles les points de vue de l’antiracisme militant.
    La religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes, et ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire, asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation.
    Non, mesdames et messieurs, la France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres.
    Je me fais une autre idée de l’homme, et une autre idée de ma fonction de tribun du peuple.
    Non, je ne plierai pas face aux oukases de l’orthodoxie officielle.
    Non, je ne cracherai pas à la figure de la liberté et de la vérité.
    Je ne fuirai pas. Je ferai face, conformément à ce que j’ai toujours été, conformément à ce que je crois juste, conformément à ce que je suis.
    L’homme n’est homme qu’au travers des principes qu’il se donne et des disciplines auxquelles il s’astreint.
    De la même façon, la France ne pourra pas échapper à la submersion migratoire, si elle n’adopte pas le principe vital et même survital que nous voulons inscrire, en toutes lettres tricolores, dans la Constitution de la Vème République, et surtout mettre en œuvre, sous le nom de préférence nationale.
    J’entends d’ici les voix offusquées des partisans du grand melting-pot planétaire. Mais qu’y a-t-il de si choquant à énoncer une évidence ?
    Que ceux qui hurlent à la discrimination à la moindre évocation de la préférence nationale lèvent leur nez.
    Qu’ils regardent ce qui est écrit au fronton des monuments publics : « République française » ! Ne leur en déplaise, l’épithète n’est pas là pour faire joli, ni pour indiquer une localisation géographique. C’est en quelque sorte une appellation d’origine.
    La République est française parce que c’est celle des français, parce qu’elle a été faite pour les Français, en France.
    Si les républiques successives n’ont pas inscrit dans leur Constitution le principe de la préférence nationale, c’est parce que cela allait sans dire, tant il est évident que la Constitution de la France ne peut être faite que pour les Français !
    C’était vrai en 1958. Et aujourd’hui qu’il est entré 10 millions d’immigrés en 30 ans, cela ne le serait plus ?
    On a laissé entrer les immigrants du monde entier par centaines de milliers chaque année, on leur a donné l’égalité pour les droits sociaux et le droit à la différence pour tout le reste, et aujourd’hui, nul ne sait plus ce qu’être Français veut dire, ce qu’être Français exige, ce qu’être Français implique.
    Etre Français, cela ne s’improvise pas. C’est un privilège, qui donne des droits et des devoirs.
    Soyons sérieux. Demander que soit restauré en France le principe de francophilie n’est pas une revendication extrémiste, c’est une exigence minimum. C’est, pour tout dire, demander simplement le respect de la tradition nationale et républicaine de la France, et de l’élémentaire justice.
    Oui, je le dis, les descendants de ceux qui, au cours des siècles, ont fait la France, par leur sueur et leur sang, ceux-là, parce qu’ils sont simplement les héritiers des précédents, ont plus de droits sur notre pays que les néo-arrivants.
    Autrement dit, les Français sont en France chez eux, et chez eux, ils ont les droits des propriétaires, supérieurs à ceux des locataires ou des invités, à fortiori des importuns ou des prédateurs.
    Comme l’expliquait un membre du Conseil constitutionnel, lui-même hostile, évidemment, à la préférence nationale, « les grandes lois sociales de la IIIe République – sur les accidents du travail en 1898, sur les vieillards et indigents en 1905 – étaient réservées aux nationaux ».
    La loi sur les syndicats de 1884 excluait les étrangers des instances dirigeantes et la loi sur les prud’hommes leur interdisait de participer aux élections des délégués ouvriers ».
    C’est l’ordonnance du 2 novembre 1945, adoptée par le gouvernement du général de Gaulle, qui mit fin à cette législation.
    La République francophile que nous appelons de nos vœux n’est rien d’autre que celle que nous avons connue jusqu’en 1981, jusqu’à ce que la gauche mitterrandienne parvenue au pouvoir se vautre dans l’affairisme, pactise avec les intérêts les plus puissants, et, sans même prendre le temps d’accomplir un quelconque « droit d’inventaire », abandonne en rase campagne les idéaux de ses grands ancêtres et finisse de démanteler le système de protection des travailleurs français par l’abrogation de la loi sur la préférence nationale à l’embauche.
    Cosignée entre autres par Léon Blum et Roger Salengro, la loi de préférence nationale à l’embauche fut présentée devant la Chambre des députés en novembre 1931. Elle posait en préambule :
    « Pendant une longue période de prospérité, on ne s’est pas fait faute de faire appel à la main d’œuvre étrangère. Des travailleurs sont venus sur la promesse qui leur a été faite de travail et de salaires. Souvent, ils étaient nantis de contrats en bonne et due forme. En tout cas, on avait fait miroiter à leurs yeux la perspective d’une France accueillante, qui les traiterait comme ses nationaux. […]
    « Maintenant que la crise est ouverte, il faut qu’un remède énergique soit apporté à une situation très grave. On ne conçoit pas que la frontière soit encore ouverte à certaines introductions d’ouvriers étrangers. La première mesure qui s’impose est la fermeture des frontières.
    Cette loi fut adoptée le 10 août 1932, les débats, suscités par des amendements déposés par la gauche, ayant majoritairement porté sur les possibilités de rendre le texte encore plus restrictif…
    C’est François Mitterrand qui décida de son abolition, laquelle fut votée par l’Assemblée nationale à la fin de 1981.
    Depuis, sur le marché du travail, on est passé de la préférence nationale à la préférence étrangère pure et simple.
    La « discrimination positive » de Sarkozy s’inscrit dans le prolongement de la Politique de la Ville, conduite en pure perte depuis plus de dix ans.
    D’abord, on a institué les Zones d’Education Prioritaires, puis l’accès à certaines grandes écoles pour les jeunes issus des ZEP : c’est d’ailleurs monsieur Fillon, qui lorsqu’il était ministre des Affaires sociales, en 203, avait annoncé « l’organisation de concours d’entrée spécifiques dans la fonction publique » en faveur de ceux qui effectuent leur scolarité « dans des établissements situés dans des zones où il y a beaucoup de jeunes issus de l’immigration ».
    Les pouvoirs publics nous disent qu’il faut favoriser les individus issus des “minorités visibles”, c’est-à-dire essentiellement les populations originaires d’autres continents que le nôtre.
    De la sorte, en favorisant les personnes issues de l’immigration, le Président de la République et son Premier Ministre vont nécessairement défavoriser les autochtones, les indigènes.
    Mais ce n’est pas tout ! Sarkozy s’est mis dans les chaussons de Chirac, en reprenant à son compte le fameux contrat d’intégration initié par l’ancien Président de la République.
    Les nouveaux arrivants se voient aimablement priés d’apprendre quelques rudiments de notre langue - à nos frais, cela va sans dire - de prendre connaissance de leurs droits et de leurs devoirs, moyennant quoi ils bénéficient… d’une aide à la formation professionnelle !
    On va aider les immigrés à obtenir une qualification professionnelle pour trouver du travail en France alors que les Français n’ont pas de travail et que ceux qui sont au chômage n’arrivent pas à se reclasser !
    Mieux encore, Sarkozy a avoué la semaine dernière, à l’occasion de sa grande émission télévisée, qu’il est favorable au droit de vote des immigrés !
    La seule raison qui l’empêche de le faire, c’est,
    dit-il, qu’il n’y a pas de majorité pour le faire !
    Il n’empêche que les convictions du Chef de l’Etat sont claires !
    A la vérité, le droit de vote des immigrés marquerait une rupture profonde de la tradition républicaine, qui lie citoyenneté et nationalité.
    Elle serait également profondément anti-nationale, et plus que tout injuste et immorale.
    En réalité, la politique sarkozienne ne réussit qu’à aggraver les discriminations que les Français subissent dans leur propre pays, tout en jetant le soupçon de favoritisme sur les immigrés qui auraient “réussi” par leur seul mérite.
    Loin de contribuer à la concorde nationale, cette politique fausse creuse encore le fossé entre les communautés et dope les revendications et les chantages communautaristes.
    Mais plus que tout, elle dévalorise le sentiment d’appartenance des Français !
    Elle leur fait honte de leur histoire, au nom de soi-disant « discriminations » qui remonteraient loin, très loin, à la colonisation, à l’esclavage, à la seconde guerre mondiale …..
    Assez de repentance !
    Assez d’autodénigrement !
    Assez de masochisme !
    Nous voulons vivre libres, c’est-à-dire debout, fiers de nos anciens et de nos droits immémoriaux !
    Et cette liberté, elle nous autorise à demander, à exiger, l’immigration- zéro, l’insécurité-zéro, la préférence nationale totale !
    Pour les logements, les emplois, les aides sociales, Français premiers servis !
    S’il est un message que nous pouvons, que vous pouvez, dès ce soir, en regagnant vos fédérations, adresser à tous nos compatriotes, c’est ce message de fierté retrouvée que j’emprunterai à un personnage historique du nationalisme arabe, Gamal Abdel Nasser : « Relève la tête, mon frère, car les jours d’humiliation sont passés ! »
    Oui, relevez la tête, Français, les jours d’humiliation sont passés !
    Vous êtes en train de reprendre possession de votre histoire !
    Vous êtes en train de briser les chaînes avec lesquelles des générations de dirigeants politiques, économiques et syndicaux ont voulu entraver votre marche libre vers des lendemains de paix et de prospérité !
    Vous êtes en train d’écrire à nouveau votre destin !
    Vous êtes bien les héritiers de Jeanne, la plus belle des saintes qui ait été offerte à notre vénération, parce que sainte de tout un peuple, de notre peuple !
    Suivons sa geste héroïque éternelle et la morale de sa vie, illuminée de sagesse divine,
    Combattons !
    Et si Dieu le veut, pour nous aussi, la victoire nous sera accordée de surcroît.
    Il y a maintenant un an que les électeurs français ont, dans une euphorie magistralement orchestrée, lâché la proie pour l’ombre.
    Ils ont, il est vrai, des circonstances atténuantes, ce qui cependant, ne diminue pas leur responsabilité de citoyens.
    D’abord, pendant une année entière, leur attention a été focalisée par les médias sur deux candidats : Sarkozy et Royal, les autres devant attendre les dernières semaines pour pouvoir accéder aux grands médias nationaux.
    Mais aussi et surtout, le dynamisme d’une campagne menée tambour battant par un candidat bénéficiant de toutes les complaisances et appuis des lobbies dirigeants, joint à un programme en grande partie emprunté au FN, faisait croire au miracle.
    Monsieur Sarkozy réussissait le tour de force de faire oublier qu’il avait été dans les cinq années précédentes, le vice-premier ministre dans les deux ministères les plus importants ; les Finances et l’Intérieur et réussit à faire croire qu’il était le candidat national, capable de mettre en œuvre les réformes salvatrices.
    Si tel avait été le cas, plus préoccupés de l’avenir de la France que de celui du Front National, nous aurions accepté de voir fait par un autre ce que nous espérions faire nous-mêmes et je me serais consolé de n’avoir obtenu que 10,4% des voix au lieu des 20 % que nous espérions.
    Mais à la vérité, nous étions, instruits par une longue expérience, déjà Sarkosceptiques, aussi bien, il y a exactement un an, entre les deux tours de la présidentielle, je demandais à nos électeurs de ne voter ni pour l’un ni pour l’autre des deux candidats restés en lice.
    Monsieur Sarkozy était brillamment élu mais dès le premier soir son quinquennat s’étant mis avec ses amis, sous l’égide maléfique de Nicolas Fouquet, le surintendant des Finances, disgracié par Louis XIV, commençait à décevoir.
    Aujourd’hui, les lampions sont éteints, le bling bling et les flons flons ont fait long feu et les français se rendent compte que le roi est nu, que les réformes quand elles ne sont pas purement et simplement abandonnées sont superficielles et qu’elles n’interrompent pas au contraire, la dégradation de notre situation.
    Les moulinets du talentueux prestidigitateur n’éblouissent plus les spectateurs blasés. La dure réalité s’impose et d’abord celle d’un président qui n’a plus que les pouvoirs d’un gouverneur d’Etat dans une Europe qui nous impose 80% des lois qui nous régissent, dans un monde qui, sous la formidable pression de la démographie, entre dans une période de turbulences graves.
    L’Union Européenne est un dinosaure sans vigueur, impotent, contraint pour sa défense à consentir à n’être qu’un protectorat des Etats-Unis. Monsieur Sarkozy, dépassé par ces faits, feint d’en être l’organisateur, affiche son alignement sur la politique américaine, revient dans l’OTAN, soutient la politique étrangère de Bush en Irak, en Iran, en Afghanistan, au Proche Orient, à tous risques.
    Nous ne sommes plus un pays indépendant et souverain, mais dépendant et asservi.
    Il faudra bien, un jour en tirer les conséquences quand la Tour de Babel mondialiste s’écroulera.
    Au cours de son exercice télévisé, le Président a cru pouvoir affirmer que le Front National, avait grâce à lui, disparu.
    Rodomontade ! Vantardise ! mais surtout profonde erreur. La preuve c’est que nous sommes là, toujours présents.
    Le Sarkozysme ne sera plus qu’un souvenir fané que le nationalisme français sera toujours vivant.
    Le Front National qui, il est vrai, a été le temps d’une élection législative gravement touché par l’escroquerie qui consistait à lui emprunter son programme pour pouvoir faire l’inverse, a montré quelques mois à peine après l’épreuve, un net redressement aux élections cantonales.
    Nous sommes le thermomètre d’une France qui va mal, de plus en plus mal.
    La crise systémique mondiale est peut-être à nos portes.
    Tous les voyants sont au rouge.
    Nous ne pouvons accepter d’assister en spectateurs au naufrage de notre pays et de notre civilisation.
    Nous devons retrouver notre souveraineté et notre responsabilité. La campagne des élections européennes commence dans un mois et durera un an.
    Nous devons jouer cette dernière carte pour reprendre le contrôle de notre pays, la France.

    Au Parlement européen, les députés français ne seront que 72 sur 751, mais votre vote signifiera que vous n’acceptez pas de disparaitre sans combattre.
    Maîtres de notre destin, nous avons encore des chances sérieuses d’endiguer l’invasion migratoire, rétablir la sécurité, l’emploi et la prospérité, en comptant sur les Français, pour les Français.
    Pas plus tard qu’aux élections cantonales, nous avons démontré qu’avec une moyenne de 8,1%, le Front National était toujours dans le peloton de tête de la politique française.
    Certes, l’épreuve, surtout ses conséquences financières, ont été rudes. Nous avons été contraints de mettre en vente notre siège national, réduire considérablement nos dépenses, à commencer par les effectifs de collaborateurs permanents, à suspendre la parution de « Français d’Abord », celle de notre Revue de Presse, bref, de tout ce qui était le plus coûteux.
    Mais nous avons un nouveau siège dont vous pourrez être fiers, une équipe solide, des moyens réduits mais que nous espérons développer par nos adhésions et nos souscriptions.
    Bien sur, cette faiblesse passagère des électeurs nationaux a fait des dégâts et pas seulement au Front National, tant il est vrai que nous sommes une grande famille.
    Mais nous ne faisons pas carrière personnelle, nous servons un idéal. La France et les Français d’abord. L’une et les autres ont encore besoin de nous et tant qu’il en sera ainsi nous répondrons présents.
    De la boue des marécages politiques s’exhalent des flatulences fétides, les hyènes hurlent près de leurs festins macabres, les professionnels de la haine et du racisme anti-français menacent, la crise s’approche.
    Patriotes, Aux créneaux. C’est de la France qu’il s’agit !

    Vive le Front National !
    Vive la France !

  • Toulon: la Police insultée!

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    A Toulon, lors des dernières manifs lycéennes devant le lycée Bonaparte le 03 avril, un jeune élève de 18 ans avait blessé gravement au visage un policier à coup de chaîne métallique.

    Les coups auraient pu tuer le policier. Il en aura été quitte pour une ITT (Interruption temporaire de travail) de plusieurs jours.

    Jason, le "lycéen", a été reconnu coupable par le tribunal correctionnel de Toulon. Il a néanmoins obtenu du tribunal l'ajournement de toute peine, sous caution de 500 €, renvoyant l'affaire à une prochaine audience en octobre!

    En clair, vous pouvez frapper les policiers à coup de chaîne au visage, vous serez libre, même si vous êtes reconnu coupable! Dans quel pays sommes-nous donc tombés?! Quelle est cette France qui insulte notre Police et le courageux combat que nos gardiens livrent, nuit et jour et à 1 contre 100 (sachez le aussi!), contre la racaille?!

    Honte à ces tribunaux pour qui les agressions contre les forces de l'ordre ne représentent rien, et qui laissent les délinquants libres de toute peine. Libres de recommencer...

    LE PEN, vite, tès vite.

  • Pas une voix patriote pour l'UMPS!

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    En visite à Toulon, pour une infâme "cérémonie" d'attribution de la nationalité française à des familles d'immigrés, Sarkozy a osé l'insulte. Contre les Patriotes.

    Monsieur "casse toi pauvre con", celui qui a fait entrer le PS dans son gouvernement et ses conseillers (Bockel, Kouchner, Attali, etc.), celui qui a promis le "karscher" mais nous a sorti le "plan banlieues" de Fadela Amara, celui qui a vendu la souveraineté française au mondialisme en imposant de force le traité euro-mondialiste de Lisbonne, Sarkozy donc a continué dans la "rupture".

    On savait déjà qu'il avait été l'artisan de la rupture contre la morale (des femmes qu'il a successivement trompées, remarié avec un "première dame" qui pose nue dans 30 magazines, etc.), de la rupture contre la politesse, de la rupture contre la souveraineté nationale...il est désormais celui de la rupture avec la gratitude.

    Ce monsieur doit son élection présidentielle aux électeurs du Front National, et à eux seuls, qui ont naïvement cru pouvoir obtenir de lui ce qu'ils n'avaient pu avoir avec Jean-Marie Le Pen, faute d'élection.

    Ces électeurs, ils les a publiquement insultés cette semaine, à Toulon, se félicitant de la "disparition du FN", parti "d'extrémistes", "poison de la politique française". Sarkozy l'insulteur a gagné: même les naïfs qui l'avaient préféré à Le Pen l'ont entendu, ce 11 mars à Toulon.

    Il a gagné une nouvelle rupture: celle du peuple, qui ne veut plus de lui. Celle des électeurs du Front National qui ne voteront plus pour lui ni pour son parti mondialiste l'UMP.

    PAS UNE VOIX NATIONALE POUR L'UMP! Que ces insulteurs, ces profiteurs, ces méprisants s'écroulent dans leur veulerie et leur lâchetés!

  • La Reconquête a commencé!

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    Incontestablement, le Front National vient de remporter, à Toulon comme en France, une première victoire dans son combat pour la Reconquête nationale.

    A Toulon, après 7 ans d'absence, le FN fait son retour au conseil municipal avec l'élection de 2 conseillers (Jean-Louis BOUGUEREAU et Danièle LE GAC). Sans doute était-il difficile, dans l'esprit des Toulonnais, de se défaire, malgré sa bétise, de Falco, plusieurs fois maire, ancien ministre, sénateur, abusivement influent au conseil général et détenteur de nombre de leviers financiers...

    Malgré cela, la liste Front National a néanmoins rassemblé 6,5% des voix, mieux que le MoDEM et 1 point de mieux qu'aux municipales de 2001.

    Et aux cantonales, où l'influence de Falco a encore joué en faveur d'un vote-réflexe pour "le plus riche", le FN a témoigné d'une nette remontée depuis les dernières élections.

    En effet, alors qu'il présentait en 2001 environ 1700 candidats et réalisait 7% des voix, le FN présentait en 2008 environ 1100 candidats (la moitié des cantons renouvelables), faute de moyens financiers essentiellement, et a réalisé 5% des voix au niveau national; cela représente une moyenne nationale de 10% là où le FN présentait un candidat, ce qui est une nette progression par rapport à 2001.

    Ainsi à Toulon constate-t-on une nette amélioration des résultats de 2001: Laurence MONTEIL a réalisé 12,23% dans le canton de Toulon-6 (contre 8,51% en 2001), Jean GODIN a réalisé 10,95% dans le canton de Toulon-1 (contre 10,33% en 2001), Michel ALBERT a réalisé 9,13% dans le canton de Toulon-3 (contre 9,11% en 2001), Danièle LE GAC a réalisé 9,01% dans le canton de Toulon-8 (contre 7,87% en 2001).

    Surtout, on mesurera cette progression en comparant ces résultats des cantonales 2008 avec la moyenne de 7,5% des voix sur Toulon aux législatives de 2007. LA RECONQUETE NATIONALE EST EN MARCHE.

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    Nos élus:

    < Jean-Louis BOUGUEREAU, avocat, conseiller régional FN, secrétaire départemental du Front 255600420.jpgNational.     Danièle LE GAC, assistante sociale, conseillère régionale FN>

  • Merci aux Patriotes toulonnais!

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    111715948.gifMerci aux 6,5 % de Toulonnais qui ont choisi la liste d'UNION NATIONALE POUR TOULON de Jean-Louis BOUGUEREAU et qui ont ainsi permis le RETOUR DU FRONT NATIONAL au conseil municipal de Toulon, avec au moins 2 élus FN à Toulon!

    Merci aussi à tous les candidats FN aux cantonales à Toulon, aux scores tous en hausse par rapport aux dernières cantonales et à 2007: Laurence MONTEIL à 12,23% dans le canton de Toulon-6, Jean GODIN à 10,5% dans le canton de Toulon-1, Danièle LE GAC à 09,01% dans le canton de Toulon-8, etc.

    Un grand merci aux militants et à tous nos électeurs.

    La page de l'imposture Sarkozy et de l'UMPS devra être tournée désormais dans les prochaines années, afin que les Français retrouvent l'espoir et que la France soit libérrée.

    Plus que jamais, RESISTANCE NATIONALE, avec le FRONT NATIONAL!

  • LE PEN à Toulon: un succès magnifique!

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    Magnifique journée que ce jeudi 28 février à Toulon, où Jean-Marie LE PEN est venu soutenir la liste UNION NATIONALE POUR TOULON conduite par Jean-Louis BOUGUEREAU!

    Après une conférence de presse de plus d'une heure à la permanence de campagne toulonnaise du Front National et de ses alliés, permanence pour l'occasion bondée à craquer, Jean-Marie LE PEN est venu déjeuner face au port de Toulon dans la salle archi-comble d'un superbe restaurant de la rade.

    Rappelant le catastrophique bilan de Nicolas Sarkozy, depuis 6 ans maintenant qu'il exerce le pouvoir, de Ministre d'Etat de l'Intérieur à Président de la Ripoublique, il a démontré de façon éclatante et en pleine verve combien la poudre de perlimpin du docteur Sarkozy était suicidaire pour la France tandis que le diagnostic et les remèdes "à l'ancienne" du docteur LE PEN étaient véridiques et vérifiés chaque jour.

    Le Président du Front National a souligné l'importance qu'il accordait aux municipales mais aussi aux cantonales pour ouvrir les yeux des déçus 1207027557.jpgdu sarkozisme, galvanisant l'assistance de son énergie et de sa combativité. Aux côtés de Maître Jean-Louis BOUGUEREAU et de ses colistiers, Jean-Marie LE PEN a conclu que les combattants du Front National et ceux qui les avaient rejoints étaient aujourd'hui "l'honneur de la France".

    La bataille de Toulon a commencé. En avant pour la libération de Toulon! Avec la liste UNION NATIONALE POUR TOULON!

  • Toulon, ville islamique!

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    Non, vous n'êtes pas en Arabie saoudite, mais bien à l'entrée de Toulon. Non, ce n'est pas une carte postale d'Algérie, c'est ici en France, devant chez vous, aujourd'hui en 2008, entre La Seyne et Toulon!

    Tous les maires UMP de la région varoise se sont couchés devant l'islamisation de notre Provence. Depuis FALCO avec la mosquée de Pontcarral, les mosquées avec minaret et autres signes ostentibles fleurissent partout.

    L'silamisation du var n'est pas un fantasme de "l'extrême droite", c'est désormais une réalité bien visible.

    Grace à la lâcheté des mairies UMP, du gouvernement Sarkoziste euro-mondialiste, qui se fichent pas mal de la détresse des Français livrés à l'immigration-invasion.

    Le Front National vous l'avait dit. Il avait raison. Français, ouvrez les yeux avant qu'il ne soit trop tard! Votez et faites voter pour les candidats courageux qui, avec le FN à Toulon et dans tout le Var, se dressent en hommes et femmes déterminés face à l'incapacité et les trahisons de l'UMPS.

    Pour donner à nos enfants un autre avenir que les mosquées et les minarets.