A l'heure où l'infecte coalition contre nature et anti-française UMPS au pouvoir se vautre dans la repentance et les "devoirs de mémoire" tous azimuts, les Pieds-Noirs toulonnais eux, n'oublient pas.
Ils n'oublient pas le véritable Oradour-sur-Glane qu'a connu l'Oranais en ce sinistre 05 juillet 1962, où plus de 3000 Européens furent pourchassés, égorgés et kidnappés dans la ville d'Oran alors que le général Katz, véritable criminel de guerre, avait ordonné aux troupes françaises de rester cloîtrées dans leurs casernes durant le massacre, sur consignes du calamiteux général De Gaulle.
3000 morts, disparus, torturés, violés... martyrs ignorés par tous les gouvernements successifs, de Gauche comme de Droite, au pouvoir depuis 40 ans. Insultés par Sarkozy, le bonimenteur professionnel qui a reçu le fellouze Bouteflika chez nous, Sarkozy le premier kollabo de l'immigration-invasion dans notre pays.
Devant le monument aux martyrs de l'Algérie Française, place d'Italie à Toulon ce 05 juillet après-midi, une délégation d'une quarantaine de Pieds Noirs étaient venus s'incliner devant les gerbes de fleurs déposées par le Cercle National des Rapatriés et l'ADIMAD.
Ils entouraient André VIDAL, président du CNR, ainsi que Jean-François COLIN, président de l'ADIMAD. La conseillère régionale et conseillère municipale FN de Toulon, Danièle LE GAC, l'ancienne conseillère générale du 6° canton, Eliane de LA BROSSE, le commandant LALANNE, commandeur de la Légion d'Honneur, et d'authentiques rapatriés oranais étaient également présents. Un apéritif de l'amitié offert par notre ami André VIDAL clotura par une note fraternelle et conviviale cet après-midi de recueillement.
Nous reproduisons ci-dessous le texte de l'allocution d'André VIDAL, prononcée devant le monument aux morts. Nous non plus, au Front National Toulon, nous n'oublierons jamais les massacres d'Oran du 05 juillet 1962.
"Mesdemoiselles, mesdames, messieurs, chers amis,
Merci d’être présents à ce rendez-vous de la mémoire. Je sais combien certains d’entre vous souffrent et que cela leur représente un gros effort, mais nous n’avons pas le droit d’oublier !
Depuis des décennies, je répète inlassablement ce qui s’est passé le 05 juillet à Oran, certains parmi vous étiez d’ailleurs sur place et pourraient mieux que moi raconter cette sinistre journée.
Ce monstrueux génocide a été commis sous l’entière responsabilité de DE GAULLE, qui était parfaitement informé de la situation explosive d’Oran, a délibérément consigné sur ordre les troupes dans leurs casernes pour laisser les barbares du FLN pourchasser, torturer, égorger, décapiter et enlever les hommes, femmes, les enfants et les vieillards.
Comment peut-on encore idolâtrer cet assassin qui, par vanité peut-être, fut complice du génocide d’Oran qui fit des milliers d’innocentes victimes.
Comment aussi ne pas haïr tous ces media, ces journalistes, tous ces politicards qui se mobilisent pour les « sans papiers »…alors que tous ces media et ces journalistes n’ont pas dit un seul mot pour savoir la vérité sur les disparus d’Oran ; c’étaient pour eux, comme le disait honteusement la « Grande Zorha » (DE GAULLE), des « Français à part entière mais des Français entièrement à part » qui n’intéressaient personne : ils voulaient rester FRANÇAIS dans des départements FRANÇAIS.
Voilà pourquoi le Cercle National des Rapatriés, 47 ans après, demande toujours la condamnation de DE GAULLE et de ses complices pour non assistance à personne en danger !
Après toutes les promesses électorales de Sarkozy à la communauté pied-noir à Toulon, PAS UNE SEULE N’A ETE TENUE ; au contraire, on nous interdit d’aller nous recueillir sur la stèle des fusillés à Perpignan, on nous a démonté la stèle de Marignane et, qui sait, demain nous interdira-t-on de venir le 26 mars et le 05 juillet devant ce monument.
Pendant ce temps, les voitures continuent de brûler, les voyous font la loi, le pouvoir d’achat baisse. Et le pouvoir chante « tout va très bien madame la marquise »…
Je m’adresse alors ici aux Pieds-Noirs qui ont perdu la mémoire : si vous avez cru un seul instant aux promesses des candidats qui, depuis 47 ans nous prennent pour des CONS, alors soit vous êtes naïfs soit vous êtes masos !
Nous sommes les derniers témoins vivants de tous ces massacres et cela gêne beaucoup ces politicards véreux qui ne pensent qu’à leur réélection.
Tant que Dieu nous donnera la force, nous serons là pour témoigner et dire la vérité, toute la vérité, personne ne nous fera taire.
Avant de nous quitter, nous chanterons ensemble le chant des Africains.
Nous ne rechanterons la Marseillaise que lorsque justice nous sera rendue.
Je crains fort, vu le comportement de toute cette meute anti-France de nos jours, que nous ne la rechantions jamais.
Merci à tous."
André VIDAL,
Président du Cercle National des Rapatriés