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  • Séance du Conseil Municipal du 26 Juin 2014

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    Lors de la séance du Conseil municipal du 26 juin, les élus du Front National sont intervenus sur plusieurs points de l’ordre du jour, en particulier:

     

    amaury.jpg

    Amaury Navarranne,

    Profitant d'un dossier accordant à la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée le soin de coordonner le projet de réaffectation de l'espace "Hôpital Chalucet" dans le centre-ville,  a demandé au Maire que l'accès aux informations sur ces projets (préservation, mise en valeur du patrimoine, architecture,...) soit plus simple aux élus d'opposition. Notre jeune conseiller municipal a par ailleurs proposé notre concours pour les réflexions préalables à ces projets.

     

    JY Waquet.jpgJean-Yves Waquet,

    Est intervenu lors de la délibération sur les comptes de la commune pour 2013. Il a mis en cause les charges de personnel, qui sont beaucoup plus importantes à Toulon que dans les villes de la même catégorie, et dont la part dans le budget de fonctionnement de la commune est chaque année plus forte. Il a par ailleurs interpelé le Maire sur les raisons pour lesquelles les effectifs des fonctionnaires municipaux n’ont pas baissé suite aux transferts de compétences à  la communauté d’agglomération TPM, alors que l’on recrutait de nouveaux agents pour le fonctionnement de cette collectivité.

      

    laure lavalette.jpgLaure Lavalette,

    A quant à elle mis le maire devant ses contradictions à propos de la réforme des rythmes scolaires : parti en bataille contre cette réforme inadaptée, il a fait marche arrière et l'appliquera en septembre contre l'intérêt de l'enfant! La résistance a été de courte durée! Elle a pointé du doigt les plus vives inquiétudes du groupe FN quant aux associations qui vont intervenir sur le temps dédié aux "Nouvelles Activités Périscolaires". Quels seront les critères de recrutement? Quid de la formation des animateurs? On est loin de l'école de "La gloire de mon père", école qui était un formidable ascenseur social; désormais les inégalités vont se creuser, certains enfants sortiront à 15h30, d'autres à 18h, cherchez l'erreur!

     

    Jean-Yves WAQUET

    Conseiller régional

    Président du groupe FN au Conseil Municipal

  • Des casseurs à Toulon suite au match victorieux du RCT : scandaleux !

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     Communiqué de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional de Provence Alpes Côte d’Azur
    Conseiller communautaire de l'agglomération TPM
    Conseiller municipal de Toulon

          

     

        Des casseurs à Toulon suite au match victorieux du RCT : Scandaleux !                                                                              

    Décidemment, tous les prétextes sont bons pour les racailles : alors que Samedi soir c’était la fête , justifiée et bon enfant, à Toulon, et sans aucun incident conformément aux traditions du Rugby,  des groupes de « jeunes des quartiers» , n’ayant rien à voir avec les supporters du RCT, ont saisi l’occasion pour se défouler en brandissant des drapeaux étrangers, casser, et s’en prendre aux passants et aux forces de l’ordre.

    Le Front National est scandalisé par ce nouveau déchainement de violence inadmissible et totalement gratuit .Ce genre de réaction intolérable devenant malheureusement une habitude depuis quelque temps, il est quand même étonnant que les autorités chargées de la sécurité publique n’aient pas anticipé ces désordres en déployant à temps des forces de police suffisantes pour contenir et interpeller les casseurs. En l’occurrence, la police municipale, dont ce n’est pas la mission, et les faibles effectifs de la police nationale ont fait de leur mieux, mais face aux casseurs déchainés, leur nombre était à l’évidence insuffisant.

    Le Front National demande donc au Maire, garant de la sécurité des citoyens de la commune, quelles dispositions il compte prendre, en concertation avec le Préfet, pour éviter qu’à l’avenir ce genre d’incident se répète, laissant les citoyens pratiquement sans défense face aux racailles et aux casseurs.

     

     

  • Fin de soirée (un peu) agitée à Toulon après le titre du RCT

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    RCT, Toulon, doublé, cmapion de France, Brennus, Amaury Navarranne, débordements, racailles, insécurité, Commentaire avant lecture (ndlr): nous n'avions pas souhaité tout de suite réagir sur ce sujet pour ne pas être (encore) accusé de gâcher la fête. Mais ces agissements scandaleux -qui ne sont pas l’œuvre d'amateurs de rugby- ne peuvent être tolérés. A certains journalistes qui ce soir là justement disaient à l'un de nos élus que ces "débordements" n'étaient pas graves, nous demandons si les cagoules, les piles en projectiles, les vols et les agressions ne sont que des faits mineurs? Au Maire de Toulon, il s'agira une fois de plus d'expliquer s'il est toujours fier de la diversité de Toulon et de ses "quartiers". Enfin au donneur de leçon Mourad Boudjellal, nous lui laissons le soin d'expliquer ces comportements de voyous.

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    Var Matin, 4 juin 2014

    Dans le rugby, les soirs de victoire sont une fête et la troisième mi-temps reste généralement belle. Quelques incidents se sont néanmoins produits, dans la nuit de samedi à dimanche à Toulon, après que le RCT est devenu champion de France.

    « Des voitures se sont fait secouer par des supporters en état d'ébriété, sur l'avenue de la République », relatent plusieurs sources. Le syndicat de défense des policiers municipaux décrit « une vingtaine d'individus capuchés », qui auraient cassé les pare-brise de deux véhicules. « À plusieurs reprises, nous avons demandé le renfort de la police nationale, argumente Christophe Sacchiero, délégué du syndicat dans le Var. Le conducteur d'un 4x4 a été pris à partie, mis au sol et tabassé. »

    Il poursuit : « Il fallait intervenir, on a extrait la victime et on s'est replié, visés par toutes sortes de projectiles. » Pendant une heure, la situation serait restée tendue, à quelques dizaines de mètres du stade Mayol.

    « La police ? Elle fait son boulot »

    En mairie, un élu estime que « les policiers municipaux se sont très bien comportés, sur un épiphénomène, qui a été bien réglé ». Le syndicat lui, affirme que « le dispositif de sécurité n'était pas à la hauteur ». Il invoque son droit d'alerte et veut saisir le préfet.

    Au commissariat de Toulon, l'état-major répond qu'il faut « raison garder ». « La police nationale, que fait-elle ? Elle fait son boulot de maintien de l'ordre. » En l'occurrence, les policiers étaient occupés sur le boulevard de Strasbourg à Toulon, « en train de faire descendre des mecs qui montaient sur les voitures, et pas que sur les leurs. Qui montaient sur les abribus. Une foule qu'il fallait canaliser ».

    La direction départementale de la sécurité publique observe qu'elle n'a pas reçu les plaintes des victimes de ces incidents. Lundi, un homme a été jugé en comparution immédiate à Toulon, pour " mise en danger et outrage ", des faits commis cette nuit-là, en état d'ébriété. Six mois de prison avec sursis. « Certes, ce n'était pas une réunion de poètes », relativise l'avocat de la défense, Me Zecchini.

  • Var Matin du 29 mai 2014

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  • « Commerces du cœur de Ville et zone-franche »

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    45009B-E01NL4_1.jpgQuestion orale d'Amaury Navarranne à l'occasion du Conseil municipal du 28 mai 2014
     

    Monsieur le Maire,

    La zone-franche de Toulon s'arrêtera au 1er janvier 2015. A partir de cette date, les entreprises nouvellement établies dans le centre-ville ne bénéficieront plus des avantages octroyés dans ce cœur de ville toujours en difficulté.

    Malgré ce dispositif exceptionnel, l'attraction du centre ville est restée très faible. En février 2014, Var Matin comptabilisait plus de 700 rideaux tirés. Avec les hausses d'impôts et les nouvelles taxes que de nombreux entrepreneurs vont devoir régler, combien d'entre eux pourront vraiment maintenir leur activité ? Nombreux sont ceux qui nous ont saisi sur ce sujet.

    Vous avez récemment annoncé un bilan de + 51 % d'activité entre 2006 et 2013 (soit 3045 "activités économiques" en 2013, environ 1 000 de plus entre 2006 et 2013) et 1 869 nouvelles entreprises dans la ZFU. Je vous propose d’ouvrir ensemble ce joli papier cadeau :

    - la zone-franche c'est le "déménagement" de la Haute-ville (non-concernée par les déductions fiscales) vers la Basse-Ville de centaines de professions libérales depuis 2006. Aucune création d'activité et aucun bénéfice nouveau pour Toulon Centre

    - la zone-franche ce sont plusieurs dizaines de "boîtes-aux-lettres" domiciliant des entreprises ou d’auto-entrepreneurs dans la zone, mais sans y tenir d'activité physique. Cela correspond à la grande partie des 1 000 activités économiques arrivées dans la zone-franche entre 2006 et 2013

    - enfin 1 869 nouvelles entreprises, cela revient à calculer que très peu se sont maintenues et ont tenu puisqu'elles ne renforcent pas le chiffre des activités économiques de 2013. Cela se comprend d'autant plus que, tout respectables et indispensables qu'elles soient, les activités libérales ne ramènent que peu de clients potentiels aux autres activités commerciales...

    Le futur centre commercial "Famille passion" à La Valette qui offrira dès 2015 de nouvelles grandes enseignes et surtout 1500 places de parking gratuites va encore accentuer la concurrence déloyale des grandes enseignes et achever peut-être le déclin du centre-ville de Toulon. Il en est de même pour le projet de ce type à La Seyne-sur-Mer.

    Alors Monsieur le Maire, voici que nous portons la voix de ces centaines de commerçants et d’artisans de notre ville, qu’ils aiment autant que nous et que vous-même. Quel sera leur avenir ? Après les promesses, quelles perspectives ? Gageons que les louables efforts d’installation d’étudiants dans le centre-ville seront une première bouffée d’oxygène. Mais cela ne règlera pas tout, Monsieur le Maire, et vous le savez. Et puis cela reste encore de la théorie. Il faut des actes forts et des faits palpables à opposer aux mesures de l’état socialiste qui continuent de ruiner le petit commerce.

    Ainsi, nous vous sollicitons pour, comme le Front National le proposait dans son programme municipal, ouvrir avec la ville et TPM une discussion sur des mesures fiscales adaptées aux TPE-PME afin d’endiguer les flots de charges qui pèsent ou pèseront sur bon nombre de nos commerçants. Prioritairement, il nous semblera nécessaire de privilégier le commerce de proximité, les vitrines, les commerces à forte image ou à forte valeur ajoutée.

    Monsieur le Maire, l’heure est aux décisions. Sur ce chemin du redressement de notre ville et de son cœur, la route est longue et ardue. Mais nous sommes décidés à forcer le pas.