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racailles

  • Il aide deux jeunes filles : un homme d'honneur !

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    Navarranne-site-1.jpgCommuniqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, conseiller municipal de Toulon et membre du comité central du FN

    Dimanche dernier, en milieu d’après-midi, le passager d’un bus du réseau Mistral à Toulon est témoin du harcèlement que deux jeunes filles subissent d’un groupe de sept ou huit racailles. Excédé de les voir agir ainsi, cet homme d’une soixantaine d’années s’est interposé.

    L’homme a été violemment agressé, frappé par plusieurs jeunes. La rapide intervention des forces de l’ordre a permis l’arrestation du principal meneur.

    Le Front national de Toulon salue le courage du sexagénaire qui a osé affronter ceux qui bénéficient trop souvent de l’impunité du système. Il est le symbole que la « koufardise » ne touche pas les hommes de panache ! Il est un exemple.

  • Des casseurs à Toulon suite au match victorieux du RCT : scandaleux !

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     Communiqué de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional de Provence Alpes Côte d’Azur
    Conseiller communautaire de l'agglomération TPM
    Conseiller municipal de Toulon

          

     

        Des casseurs à Toulon suite au match victorieux du RCT : Scandaleux !                                                                              

    Décidemment, tous les prétextes sont bons pour les racailles : alors que Samedi soir c’était la fête , justifiée et bon enfant, à Toulon, et sans aucun incident conformément aux traditions du Rugby,  des groupes de « jeunes des quartiers» , n’ayant rien à voir avec les supporters du RCT, ont saisi l’occasion pour se défouler en brandissant des drapeaux étrangers, casser, et s’en prendre aux passants et aux forces de l’ordre.

    Le Front National est scandalisé par ce nouveau déchainement de violence inadmissible et totalement gratuit .Ce genre de réaction intolérable devenant malheureusement une habitude depuis quelque temps, il est quand même étonnant que les autorités chargées de la sécurité publique n’aient pas anticipé ces désordres en déployant à temps des forces de police suffisantes pour contenir et interpeller les casseurs. En l’occurrence, la police municipale, dont ce n’est pas la mission, et les faibles effectifs de la police nationale ont fait de leur mieux, mais face aux casseurs déchainés, leur nombre était à l’évidence insuffisant.

    Le Front National demande donc au Maire, garant de la sécurité des citoyens de la commune, quelles dispositions il compte prendre, en concertation avec le Préfet, pour éviter qu’à l’avenir ce genre d’incident se répète, laissant les citoyens pratiquement sans défense face aux racailles et aux casseurs.

     

     

  • Fin de soirée (un peu) agitée à Toulon après le titre du RCT

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    RCT, Toulon, doublé, cmapion de France, Brennus, Amaury Navarranne, débordements, racailles, insécurité, Commentaire avant lecture (ndlr): nous n'avions pas souhaité tout de suite réagir sur ce sujet pour ne pas être (encore) accusé de gâcher la fête. Mais ces agissements scandaleux -qui ne sont pas l’œuvre d'amateurs de rugby- ne peuvent être tolérés. A certains journalistes qui ce soir là justement disaient à l'un de nos élus que ces "débordements" n'étaient pas graves, nous demandons si les cagoules, les piles en projectiles, les vols et les agressions ne sont que des faits mineurs? Au Maire de Toulon, il s'agira une fois de plus d'expliquer s'il est toujours fier de la diversité de Toulon et de ses "quartiers". Enfin au donneur de leçon Mourad Boudjellal, nous lui laissons le soin d'expliquer ces comportements de voyous.

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    Var Matin, 4 juin 2014

    Dans le rugby, les soirs de victoire sont une fête et la troisième mi-temps reste généralement belle. Quelques incidents se sont néanmoins produits, dans la nuit de samedi à dimanche à Toulon, après que le RCT est devenu champion de France.

    « Des voitures se sont fait secouer par des supporters en état d'ébriété, sur l'avenue de la République », relatent plusieurs sources. Le syndicat de défense des policiers municipaux décrit « une vingtaine d'individus capuchés », qui auraient cassé les pare-brise de deux véhicules. « À plusieurs reprises, nous avons demandé le renfort de la police nationale, argumente Christophe Sacchiero, délégué du syndicat dans le Var. Le conducteur d'un 4x4 a été pris à partie, mis au sol et tabassé. »

    Il poursuit : « Il fallait intervenir, on a extrait la victime et on s'est replié, visés par toutes sortes de projectiles. » Pendant une heure, la situation serait restée tendue, à quelques dizaines de mètres du stade Mayol.

    « La police ? Elle fait son boulot »

    En mairie, un élu estime que « les policiers municipaux se sont très bien comportés, sur un épiphénomène, qui a été bien réglé ». Le syndicat lui, affirme que « le dispositif de sécurité n'était pas à la hauteur ». Il invoque son droit d'alerte et veut saisir le préfet.

    Au commissariat de Toulon, l'état-major répond qu'il faut « raison garder ». « La police nationale, que fait-elle ? Elle fait son boulot de maintien de l'ordre. » En l'occurrence, les policiers étaient occupés sur le boulevard de Strasbourg à Toulon, « en train de faire descendre des mecs qui montaient sur les voitures, et pas que sur les leurs. Qui montaient sur les abribus. Une foule qu'il fallait canaliser ».

    La direction départementale de la sécurité publique observe qu'elle n'a pas reçu les plaintes des victimes de ces incidents. Lundi, un homme a été jugé en comparution immédiate à Toulon, pour " mise en danger et outrage ", des faits commis cette nuit-là, en état d'ébriété. Six mois de prison avec sursis. « Certes, ce n'était pas une réunion de poètes », relativise l'avocat de la défense, Me Zecchini.

  • Arme blanche aux urgences: jusqu'où?!

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    Communiqué de presse de Jean-Yves WAQUET
    Conseiller Régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur
    Candidat tête de liste FN à l’élection municipale de Toulon

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    Urgences de l’Hôpital Ste Musse : un individu menace à l’arme blanche patients et personnel soignant...
     
    couteau.jpgSamedi matin vers 5h30 un jeune majeur s’est présenté aux urgences de l’Hôpital Ste Musse de Toulon pour une plaie bégnine, suite sans doute à une bagarre. L’individu, semble t’il sous l’emprise de l’alcool et de la drogue, a d’abord agressé verbalement le personnel puis a finalement sorti une arme blanche pour menacer en particulier une infirmière, et en terrorisant patients et personnel soignant. La police nationale prévenue est arrivée assez rapidement sur les lieux, mais, à la grande surprise du personnel du service, a laissé l’individu sur place sans l’emmener dans un premier temps…. Il faudra un nouvel appel angoissé du service pour que la police revienne et que l’énergumène soit enfin « raccompagné » chez lui, sans être plus inquiété semble t’il !
     
    Ce fait divers, qui aurait pu mal tourner, illustre parfaitement un phénomène national : Les agressions dans les services d’urgence se multiplient et le personnel médical de service est souvent laissé à lui-même face à des situations dangereuses. Selon une enquête de l’Observatoire des violences en milieu de santé (ONVS), les menaces, agressions et violences à l’hôpital ont doublé en un an !
     
    Mais il renforce aussi ce que le Front National dénonce depuis longtemps, il est inadmissible que les citoyens, à fortiori dans un hôpital, soient laissés seuls pour faire face à la violence .Ce n’est pas au personnel soignant de gérer ce genre de situations. Dans le cas présent, on ne comprend pas pourquoi cet individu menaçant n’a pas été interpellé au premier passage de la police, La logique aurait voulu que l’individu soit emmené et placé en garde à vue dans le cadre d’une procédure de violence avec arme contre un personnel de santé. Force est de constater, une fois de plus, que la sécurité n’est pas assurée dans les hôpitaux, il est donc incompréhensible qu’en l’espèce la police nationale n’ait pas fait preuve de plus de fermeté, sur un appel à l’aide.