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Mise en examen et pseudo démission : la parole publique bafouée à Toulon !
Communiqué de presse du groupe Front National à la Mairie de Toulon
Mis en examen dans une affaire de marché public suspect du syndicat intercommunal de gestion des ordures ménagères de Toulon (SITTOMAT), l'adjoint au Maire de Toulon Jean-Guy di Giorgio avait annoncé démissionner de toutes ses délégations municipales (Propreté, Mer, Plages, Littoral, Éclairage public et Hygiène) afin d'assurer sa défense. On apprend finalement qu'il en conserverait une, la Mer, restant donc adjoint avec ses indemnités pleines et ses prérogatives.Le Sénateur-Maire de la ville, Hubert Falco, avait officiellement "pris acte" dans un communiqué le 16 décembre de ces démissions, listant TOUTES les délégations. Ce qui de facto devait entériner une modification qui n'aura donc pas lieu. Rien ne change finalement sous le soleil, malgré des soupçons de plus en plus prenants. Cette attitude d'accommodements autocratiques frôle avec la manipulation au service de la communication.Le groupe Front National exige que les actes annoncés soient suivis d'effets. Si la présomption d'innocence doit être respectée, Jean-Guy di Gorgio ne peut conserver de délégations après l'annonce faite. Il en va de la plus élémentaire morale. Il en va aussi d'une image de la politique déjà fortement abîmée par ces attitudes régulières d'une classe politique à bout de souffle, fortement contestée en interne comme dans les scrutins récents. -
Galette des Rois samedi prochain !
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Épidémie de grippe : l’urgence de remettre de l’ordre
Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de PACA, conseiller municipal de Toulon, membre du comité central du Front NationalAlors que l’épidémie débutait il y a quelques jours, le ministre de la santé Marisol Touraine appelait tous les porteurs de symptômes grippaux à se rendre dans un service d’urgence, sans en prévoir les saturations évidentes.Ainsi à Toulon c’est +30% de fréquentation des urgences en 15 jours. La remarquable capacité d’adaptation du personnel de santé de nos hôpitaux pallie l’incurie des politiques qui ne tirent jamais les leçons de leurs erreurs.Cette situation met en outre en avant la nécessaire réforme en profondeur de notre système de santé que Marine Le Pen et le Front National veulent engager, loin des funestes projets de sape sanitaire d’un François Fillon ou des « automédications numériques » d’un Emmanuel Macron. -
Camp de Roms à Toulon : métastase de Schengen
Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du comité central du Front National.
Avec l’actualité du « retour » de Léonarda, les Toulonnais vont découvrir un camp de Roms à quelques mètres de la déchetterie de Lagoubran. Un site modeste, 6 cabanes pour le moment, mais conséquence directe de l’Espace Schengen qui encourage la paupérisation et le déracinement. Une situation d’insalubrité avancée organisée avec le consentement tacite de la municipalité, propriétaire du terrain, qui en assure « l’entretien ».
L’abolition progressive des frontières par les gouvernements successifs s’est avérée être une erreur majeure que nous avions annoncée. Seule notre souveraineté territoriale (et politique) retrouvée permettra de lutter efficacement contre les entrées ingérables de gens pensant trouver chez nous les promesses d’une vie meilleure et à celui de nos compatriotes qui en subissent les conséquences.
Pour les Français, c’est la double peine : un coût exorbitant pour nos comptes publics et sociaux, l’insécurité en hausse constante ainsi que des risques sanitaires évidents. L’Etat doit entendre la voix des Français et rétablir de toute urgence de véritables contrôles aux frontières tout en assurant le co-développement pour mettre un terme aux drames actuels. Seuls Marine Le Pen et le Front National le feront !
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Place de la Visitation : il faut cesser les visites !
Communiqué de presse d'Aline Bertrand, Conseillère régionale PACA et municipale de Toulon, Secrétaire départementale du Front National de la Jeunesse
Le parking de la Visitation fait à nouveau parler de lui dans la presse locale. Le problème n'est pas nouveau sous le soleil toulonnais puisqu'encore une fois, lors du dernier CIL en novembre, les habitants du quartier faisaient part aux élus municipaux de la situation intenable dont ils étaient victimes suite aux trafics et dégradations quotidiennes.
À l'époque, madame le Député-Adjointe au maire, Geneviève Levy, promettait "une solution dès décembre", ajoutant toutefois que "l'économie parallèle touche toutes les communes y compris Toulon" (bien jolie formule pour minimiser le fléau du trafic de drogue), et que le maintien de l'ordre était "le rôle de la Police Nationale".
Toutes les excuses sont bonnes pour rejeter la faute sur d'autres.Et malgré cela, aucune mesure n'a été prise, ni dans les dernières semaines, ni depuis des années. Finalement, la seule solution avancée par Geneviève Levy aujourd'hui serait de condamner des accès et ajouter la présence d'un gardien. Comme si cela allait suffire à changer les habitudes de dizaines de racailles et de dealers et assurer la sécurité des habitants.
En vérité, c'est seulement un problème de courage politique dont les décisionnaires actuels manquent cruellement.
Voici ce que nous proposons :
• ajouter une présence policière soutenue, qu'elle soit municipale et nationale, avec les moyens appropriés ;
• appliquer la tolérance zéro ;
• revoir notre système judiciaire qui, et ce n'est pas une nouveauté, permet aux délinquants et criminels d'être libérés, renforçant ainsi leur sentiment d'impunité.Ces mesures ne pourront être prises que si nos compatriotes font le choix dans quelques semaines de remettre la France en ordre, avec Marine Le Pen et au nom du peuple.
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Vœux 2017 : Hubert Falco toujours fâché avec les chiffres ?
Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de PACA, conseiller municipal de Toulon, membre du comité central du Front National
Une brève dans Var Matin de ce mercredi 4 janvier tend à prouver qu’Hubert Falco restera en 2017 fâché avec les chiffres, à commencer par ceux de ses vœux : une carte postale envoyée à 19.000 exemplaires selon le cabinet du Maire qui évoque un coût de « 3.109€ cette année contre 6.547€ l’an dernier pour le même nombre d’exemplaires ».
Si le prix de la carte est moins important que les années passées (n’allons pas douter de cette affirmation…), les vœux de cette année ont en fait coûté au moins 22.109€… Car les cartes ont toutes été envoyées par La Poste, même celles destinées aux élus ou quelques personnels de mairie à la même adresse, celle d’où le courrier fut expédié : 1€ par carte ! (cf. PJ)
Il est bon que les économies soient au cœur de la gestion municipale. Mais alors, cher Hubert Falco, quelques conseils :
- parlez des coûts totaux et non des seuls qui baissent
- un tarif moins rapide mais plus économique existe
- utilisez parfois le courrier interne pour les étages au-dessus de vous… -
Jeudi vous êtes pris !