Cela s'est passé la semaine dernière à Marseille. Une ville que la municipalité UMP de Gaudin voudrait nous faire passer comme pacifique, ensoleillée, paisible, où elle serait "plus belle la vie"... La réalité, dans cette cité colonisée par l'immigration-invasion, est tout autre...
La réalité est abjecte, écoeurante, révoltante. On ne peut pas la passer sous silence; il faut en effet bien que l'on s'y arrête, qu'on la dénonce au lieu de l'étouffer, que l'on alarme les Français au lieu d'ignorer la vérité, parceque demain cela sera votre tour, si vous ne faites rien.
Deux hommes de 18 et 27 ans ont été mis en examen jeudi et écroués aux Baumettes après le viol collectif d’une femme dans un hôtel de Marseille. Leur victime, une jeune infirmière de 21 ans à qui ils ont fait absorber une grande quantité d’alcool, est morte.
Interpellés mardi, 2 hommes de 18 et 27 ans ont été mis en examen le 11 décembre pour “viol aggravé suivi de la mort de la victime” et “non-assistance à personne en danger“. Lundi 08 décembre au soir, la jeune infirmière marseillaise monte dans la voiture d'un de ses "copains" de la cité de la Batarelle-Haute (13e)... Elle est emmenée dans une chambre d’hôtel à Saint-Menet où l'attendent 3 autres hommes... Ils lui ont fait boire 1 litre de vodka avant de la violer en groupe. Elle en est morte.
Les barbares ont tenté de l’abandonner dans une voiture du quartier de La Valentine, dans le 13e arrondissement de Marseille, avant de se résoudre à appeler les pompiers, qui n’ont pu la ranimer. Deux complices, qui auraient également participé au viol, sont activement recherchés par la police. Un prélèvement sanguin a permis d’établir que la jeune femme avait 6 g d’alcool dans le sang.
“Marseille est une ville violente”, a déploré en fin de semaine le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest, faisant état de “quatre meurtres en une semaine, tous plus sordides les uns que les autres”. (Info "La Provence" du 12/12/08)
Elle est belle la "France d'après" de Sarkozy. Elle est belle la "diversité" que Sarkozy nous impose, au plus grand mépris de l'égalité des Français. Elles sont belles les promesses de "karscher" dans les banlieues... Jusqu'à qu'elles extrémités les Français supportentront-ils ces horreurs, cette interminable descente aux enfers? Combien de morts faudra-t-il pour qu'ils ouvrent enfin les yeux?
Décidément, aujourd'hui, il n'y a plus que le FRONT.