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migrants

  • Et les migrants étaient à l'arrière du camion... puis repartent libres !

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    Communiqué de presse d'Amaury Navarranne, membre du comité central du Front National, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, conseiller municipal de Toulon
     
    Ce mardi matin, neuf migrants ont été interpellés cachés à l'arrière d'un fourgon livrant une boutique du Champ de Mars dans le centre-ville de Toulon. Ils se seraient semble-t-il dissimulés à l'arrière sans que le chauffeur du véhicule n'ait pu s'en rendre compte avant d'ouvrir son hayon. Les délinquants ont été emmenés au poste de Police. 
     
    Ont-ils été expulsés comme il se devrait ? Pas du tout ! Ils ont tous été remis en liberté avec à la main un OQTF (Obligation de quitter le territoire français), une simple feuille de la préfecture du Var. Gageons que nous en retrouverons très vite certains dans d'autres affaires... comme les faits divers nous le prouvent chaque jour ici comme ailleurs ! 
     
    Les pouvoirs publics doivent agir pour rétablir les frontières nationales et leurs contrôles. Seul un rétablissement pérenne de nos frontières nationales, ce qui suppose de sortir de l’espace Schengen, de tourner définitivement le dos au dogme de la libre-circulation imposé par l’Union européenne, et l'expulsion des clandestins seront garants de notre sécurité et de notre salubrité, ainsi que celle de ces migrants eux-mêmes.
  • Toulon : la conférence du droit fondamental des migrants qui bafoue le droit élémentaire de l’expression démocratique !

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    Communiqué d'Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du comité central du Front National

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    Le Bureau d’information du Parlement européen de Marseille organise ce vendredi à la faculté de droit de Toulon une Conférence débat "La politique migratoire de l’Union Européenne à l’aune de la protection des droits fondamentaux", avec le Centre de Droit et de Politique Comparée et  l’Université de Toulon, sur une initiative de l’Antenne Jeunes d’Amnesty International.

    Si le sujet d’étude juridique s’entend, l’invitation d’un seul député européen du sud-est, ultra-minoritaire et ultra-favorable à l’immigration massive, est un déni du droit fondamental de l’expression démocratique. Dans cette région, le Front National est arrivé très largement en tête aux dernières élections de 2014 avec 28,18% et 5 députés. Mme Vergiat avec ses 5,96% est pourtant seule à être invitée…

    Ancien doyen d’université, professeur de droit et ancien avocat, notre député Bruno Gollnisch avait par exemple qualités et légitimité populaire pour parler à la tribune sur ces sujets. Mais ceux qui prétendent défendre le droit des autres bafouent en fait le droit des nôtres : ils refusent le vrai débat !

    Les premiers droits fondamentaux de l’homme sont sa liberté et sa sécurité. Cela passe pour les Français par le contrôle de leurs frontières et la sanction des délinquants, à commencer par les clandestins qui ont vocation à être expulsés. Aucun droit fondamental n’est bafoué en France pour un vrai réfugié !

  • "Migrants" : réalités...

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    Retrouvez notre dernier tract, dès demain sur les marchés de la ville et dans les boîtes aux lettres. 

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  • Toulon : expulsons immédiatement tous les migrants délinquants !

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    Communiqué d'Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du comité central du Front National

    Cette nuit du 11 au 12 octobre 2017, un groupe de migrants, dont certains récidivistes, a semé la terreur en cambriolant plusieurs maisons dans le quartier du Petit Bois à Toulon, gazant les occupants à la lacrymogène.

    Le sang-froid de certains riverains, ripostant par légitime défense, et l'intervention des forces de l'ordre ont permis l'arrestation des délinquants. Seront-ils à nouveau relâchés par une justice permissive ou sans moyens ? Le conseil départemental paiera-t-il encore leurs hébergements à l'hôtel, leurs frais ?

    Nous exigeons au contraire leur expulsion immédiate du territoire ainsi que toutes les mesures qui permettront que cesse chez nous cette insupportable politique d'accueil sans distinction et de laxisme d'un État complice.