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ZONE DE NON-DROIT A TOULON : La réalité entre les lignes

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                          Communiqué de presse du Front National à Toulon

 

 18 Janvier 2016

 

 Zones de non-droit à Toulon : la réalité entre les lignes  Au détour d’un article sur la baisse de la population toulonnaise dans l’édition Var Matin de ce lundi 18 janvier 2016, le sénateur-maire Hubert Falco conteste la méthode de calcul car les agents du service national de la statistique n’auraient pas pu avoir accès à certains quartiers sensibles.

« Ca ne s’est pas bien passé à La Grande Plaine, à La Beaucaire, à Pontcarral où les agents recenseurs ont été pris pour des policiers et où parfois ils ont été agressés. Il a même fallu que l’on dépose une main courante », affirme d’ailleurs le premier édile de la ville. Une main courante, une seule, et pas même une plainte ? Soit l’excuse qu’il donne est faussée, soit les conséquences de ces attaques sont encore une fois minorées scandaleusement par un homme politique qui, il est vrai, est en partie responsable de cette désastreuse situation. Ancien ministre et parlementaire depuis longtemps, il a voté à Paris toutes les lois qui ont abaissé nos défenses et ont donné l’impunité aux voyous. Cette situation, qui est une fois de plus le constat de l’existence de zones de non-droit, en est donc en partie la conséquence.

Si deux ou trois agents recenseurs ont vécu cette situation lors de leur venue, alors que penser de ce que subissent ceux qui y habitent au quotidien. Quand la réalité vient frapper à la porte de Monsieur le maire, il fait une déclaration et referme la porte. Nous ne cesserons de dénoncer cet autisme et cette folle fuite en avant de ceux qui, ayant reçu mandat d’agir, préfèrent se bander les yeux.  

                        

  

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