A Ollioules, un vent de victoire souffle pour LE PEN

Jean-Marie LE PEN le sait: en PACA, les Provençaux reviennent de plus en plus au FN. Des signes qui ne trompent pas: un vrai bain de foule pour le président du Front National à Cagnes sur mer il y a 2 jours, une salle comble ce dimanche 28 février à Ollioules pour le déjeuner patriotique de la semaine.

Plus de 300 couverts servis, la capacité maximum du restaurant, des dizaines de réservations refusées ces derniers jours, faute de places car tout était déjà complet! Il n'y a pas de doute, le vent tourne pour LE PEN. Il n'y avait qu'à voir la foule enthousiaste clamant "LE PEN président!" à tout rompre, sous une forêt de drapeaux français, les Varois ont fait à nouveau un triomphe à Jean-Marie LE PEN.

Entouré de son épouse Jany, du comte et de la comtesse de PIERREFEU, de madame Geneviève GOLLNISCH, varoise et également mère de Bruno GOLLNISCH, de Danièle LE GAC, conseillère régionale, d'Eliane de LA BROSSE, ancienne conseillère générale, de Marie-Claude AUCOUTURIER, conseillère régionale, de Bernard d'AUMALE, époux de Brigitte BARDOT, et de nombreuses autres personnalités ou colistiers frontistes, Jean-marie LE PEN a d'abord cédé la parole à Jean-Louis BOUGUEREAU, conseiller régional et secrétaire départemental FN du Var, qui a relevé notamment l'accueil chaleureux que recevaient actuellement les militants frontistes sur les marchés varois.

Le leader du FN, après une conférence de presse où étonnemment se sont pressés nombre de journalistes, qui sont restés toute l'après-midi (autre signe évocateur...), a régalé les convives du déjeuner patriotique d'une prestation de haute volée, offensive, proche du peuple des militants au milieu desquels Jean-Marie LE PEN s'est plu à déambuler et discourir, micro en main.

En débutant par une citation de Victor Hugo sur Napoléon "le petit", dont on aurait cru mot à mot qu'elle décrivait le "très petit" Sarkozy, le ton était donné. Jean-Marie LE PEN a relevé combien les échecs de Sarkozy dans tous les domaines, la collusion de l'UMP dans les régions avec le PS où ils votent 95% de leurs propositions, faisaient de ce gouvernement une imposture permanente au ordre du "grand diseux mais petit faiseux", que les électeurs frontistes ne sont plus près de soutenir.

Il a dénoncé avec vigueur la lâcheté de ceux qui attaquent en justice la dernière affiche FNJ qui proclame "Non à l'islamisme", en rappelant que ce qui est illégal en France ce n'est pas de dénoncer l'islamisme, péril menaçant jusqu'à la terreur les civilisations européennes, mais que c'était bien plutôt de brûler impunément le drapeau français et de vanter l'invasion de la France par l'Algérie sur des T-shirts ignobles, qui fleurissent dans les rues de Marseille (cf. photo ci-contre ).

LE PEN, devant une foule galvanisée l'applaudissant à tout rompre, a définit le combat du Front National comme la seule opposition à la décadence de la France, que le gouvernement UMPS a démontré son impuissance, son absence de volonté, son incapacité à enrayer.

Et de cela, les Français commencent à se rendre clairement compte. Les 14 et 21 mars, le seul recours, ce sera le Front National.