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Immigration "choisie": le scandale

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Lorsque l'on sait qu'un immigré clandestin, gratuitement bénéficiaire de l'AME (Aide Médicale d'Etat), coûte 2500 € en moyenne par an en dépenses de santé, contre 1500 € pour un assuré du régime général (qui lui contribue abondemment aux multiples côtisations sociales!), on se demande ce que le fumeux concept "d'immigration choisie" de SARKOZY va nous coûter. très cher, ça c'est déjà certain.

Dans un article plein de bon sens, Marine LE PEN décortique dans le dernier numéro de "National-Hebdo" l'imposture sarkoziste et le danger mortel qu'elle représente ppour la France et les Français:

"Lorsque Nicolas SARKOZY a lancé son immigration « choisie » comme moyen de gérer l’immigration, beaucoup ont pensé que ce projet s’appuyait sur des fondements doctrinaux solides et une vision d’homme d’Etat. Malheureusement pour le pays, la vérité est tout autre : sur l’immigration, sa politique n’est que le recyclage d’une pensée technocratique inspirée par des organisations internationales.

Nicolas Sarkozy n’est en effet que le plagiaire intégral d’un rapport administratif publié en mai 2006 par le Centre d’analyse stratégique. (…) Dans ce rapport, on retrouve non seulement l’argumentaire présidentiel sur le sujet, mais également le détail des mesures gouvernementales : les décrets sur les professions ouvertes à l’immigration économique, les circulaires de régularisation des étrangers bénéficiant de promesses d’embauche ou d’un contrat de travail, les mesures en faveur des étudiants étrangers, le refus de réformer le regroupement familial

Habilement, la très immigrationniste Commission ATTALI n’intervient que pour donner une caution pluraliste et polyphonique à ce projet. La publication de fuites sur les conclusions du rapport 3 jours après l’annonce de la constitutionnalisation de la discrimination positive, relève de ce point de vue davantage d’un plan média que du hasard.

A l’évidence, Nicolas SARKOZY n’a pas la stature qu’il voudrait se donner. Il navigue au fil des rapports administratifs dans un système où le fonctionnarisme est roi et la vision d’Etat absente.

Avec le souci de relooker le couplet ringard des années 80 chanté par Bernard STASI « l’immigration est une chance pour la France », le fondement du raisonnement des chantres de l’immigration économique tient désormais en une nouvelle formule : « l’immigration est une source de richesses et donc de croissance »… Cette création de richesses ne risque pas de concerner les Français dont les revenus stagneront, voire régresseront, du fait de la concurrence d’une main d’œuvre à bas prix, y compris pour les postes d’encadrement et pour les professions intellectuelles : informaticiens, géomètres, etc.

Elle ne concernera pas davantage la collectivité nationale qui supportera les coûts sociaux induits par cette immigration de travailleurs d’abord puis de familles ensuite. Le coût de l’immigration est évalué à plusieurs dizaines de milliards d’euros par an ; il faut que les promoteurs de cette immigration en soient parfaitement conscients pour s’abstenir avec une si grande constance de fournir le moindre chiffrage…

Mais attention ! Nous n’en sommes qu’au début : la logique de la politique d’immigration choisie conduira rapidement à l’ouverture de la fonction publique aux étrangers, à la dérégulation des professions protégées et à la généralisation des équivalences des diplômes du monde entier avec les diplômes français. Une fois enclenchées, la mécanique ne s’arrêtera pas…"

 

Ajoutez à cela les conclusions de la Commission ATTALI sur la "nécessité" pour l'Europe d'importer des nouveaux immigrés par millions...et vous comprendrez que les Français en 2007 ont élu le pire des Présidents: celui de l'anti-France.

 

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